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14 novembre 2015 6 14 /11 /novembre /2015 09:40

Aujourd’hui je m’indigne ! Parce que les cérémonies en hommage aux plus grands des tueurs en série, ça me reste en travers de la gorge. En ce 11 novembre 2015, les Serial killer sont pourtant aisés à reconnaître. Et d’ailleurs ils ne se cachent pas. Ils ont commis leurs crimes sans être masqués, sans la moindre cagoule. Ils sont parvenus à des scores époustouflants : dix millions de cadavres et plus de dix millions de blessés. C’est autre chose que les Landru et autres docteurs Petiot ! C’est mieux que les terroristes, encore meilleur que les grands tueurs des Etats-Unis. Ils ont procédé avec des armes traditionnelles, des mitrailleuses, des canons, des baïonnettes, et puis aussi avec des outils détournés de leur fonction habituelle : des pelles de terrassier, des manches de pioches, des pics de démolisseurs… et tout ça s’est déroulé au vu du monde entier, parce qu’en plus ils ont pris des photos, des « selfies » avant même l’invention du mot. C’est dire le sadisme de ces tueurs en séries. On les voit à l’œuvre, dans des sortes de fossés, des « tranchées » c’est le mot qu’ils emploient. Ils s’étripent, ils se fracassent le crâne, ils se débitent en morceaux, ils se saignent, ils s’égorgent, ils se transpercent et rien ne les arrête… ils sont contents quand ils voient couler la cervelle par les oreilles. Ils se croient tout permis, à condition que ce soient des boches. Et s’ils refusent de découper les boches, ils sont fusillés. Pour l’exemple. Les boches, ils ne les mangent même pas. Ils n’ont pas de suite dans les idées. Mais voyons de plus près. Il y a des meneurs, des chefs de bandes, on les reconnaît à des petits détails, ils appellent ça des « grades ». Pour être chef de bande, il faut avoir tué, ou « commandité » un nombre de victimes considérables. Les noms des chefs de bande sont bien connus. Donc, les tueurs agissent au grand jour ! Sans compter qu’ils ont longuement prémédité leurs crimes. Ce sont donc des criminels qui devraient être « fichés au grand banditisme ». On chantait ça autrefois dans les chansons, notamment « la Chanson de Craonne » et « la Butte Rouge ». Aujourd’hui la vérité est interdite et les gens sont ramollis ! Pourtant les choses sont clai-res : la Première Guerre Mondiale dépasse en victimes innocentes les pires des tueurs en séries. Mais n’allez pas abattre un général, même sans le découper en pièces détachées et le disposer dans votre cave. Avec les honneurs qui lui sont dus : le fusiller une deuxième fois, pour être sûr qu’il n’en tuera plus. Oui, « il est des morts qu’il faut qu’on tue »… on ne sait jamais, s’ils ressuscitaient…

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