Je suis exaspérée par les pleurnicheries de ces stars de cinéma qui viennent dénoncer les agissements de leurs anciens producteurs. Comme si elles découvraient que le show business était plein de vicelards et de profiteurs.
Mais ça fait partie de votre métier mesdames les actrices, la navigation à vue au milieu des squales. Et si vous n’étiez pas d’accord, il fallait coller une beigne au sagouin qui vous mettait la main au cul !
Seulement après, adieu gloire, argent, sex and drugs.
C’est l’exacerbation des pulsions sexuelles qui pousse les hommes (et les femmes) au pouvoir. Henri Laborit l’a très bien expliqué. Il le résumait à peu près comme ça : « Vous n’imaginez pas le nombre de cerveaux reptiliens qu’on peut croiser dans un dîner à l’Elysée».
D’ailleurs ce Weinstein quand je le regarde de près, je lui trouve nettement un air de crocodile, voire même d’alligator (ce qui est caïman la même chose comme vous le savez déjà).
J’ai connu une femme fonctionnaire qu’on avait mutée dans le staff de secrétaires du ministre Bérégovoy. Elle me racontait l’activité principale de ce charmant monsieur : tous les matins il convoquait dans son bureau une des secrétaires et l’humiliait tranquillement par toutes sortes de vexations sur son physique, jusqu’à ce que la jeune femme fonde en larmes.
Quand Bérégovoy est mort, je me souviens avoir vu dans la prunelle de la dame comme une étincelle de joie.
C’était la prunelle de gauche, la socialiste.