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20 avril 2019 6 20 /04 /avril /2019 09:31

Ce que l’ occupant allemand n'avait pas osé faire, lui l'a fait.
Le nabot-despote s'est avancé loin devant Sarkozy et Hollande dans l'ignominie.
Ses deux glorieux prédécesseurs avaient seulement ouvert la voie.

Et qu'est-ce qu'il veut nous dire, le cocaïnomane-président ?
Juste ceci : "Voyez, bande de connards, moi aussi je peux foutre la merde, et vos petits feux de joie sur les ronds-points, à côté, c'est de la rigolade !"

La sidération devant l'horreur va maintenant occuper tout l’espace. Les cathos vont croire à la colère de Dieu, et ranger les gilets jaunes dans l'armoire. Les franco-français vont renifler des vapeurs de merguez islamistes dans les cendres. L'enquête révèlera des erreurs techniques invérifiables, et les médias-torchons feront tourner en boucle les images du brasier.

Seulement voilà, arrogants fabricants d'opinion : votre histoire sent le déjà-vu.
Hollande et son "Votez Charlie !" nous sont restés au travers de la gorge.
Alors comptez pas sur nous pour avaler le "Votez Notre-Dame !"

Et le Néron ignare, lui, ravalera sa morgue, et sera destitué, demain ou après-demain, de gré ou de force. Et il n'aura plus qu'à se planquer, bien loin, et bien profond, jusqu'à la fin de ses jours !


L'architecte interviewé dans cette vidéo (à 0:12:35) sera sûrement déclaré responsable du sinistre.  "Suicide" en perspective ? : https://www.lci.fr/replay/24h-pujadas-l-info-en-questions-replay-du-mardi-16-avril-2019-2118621.html

Extrait :

En tant qu'architecte en chef des Monuments historiques, Benjamin Mouton a été en charge de la cathédrale Notre-Dame de 2000 à 2013, pour laquelle il a piloté le lourd chantier de la détection incendie. Ce dernier n'a pas encore pu se rendre à l'intérieur de l'édifice, mais redoute déjà l'impact de l'incendie et de l'effondrement des charpentes sur la stabilité globale de l’édifice.

Reprenant les propos de son successeur Philippe Villeneuve, avec qui il est en contact, Benjamin Mouton affirme être « totalement incrédule" face à cet incendie qui aurait pu partir du chantier de rénovation, et que les soupçons pourraient se porter sur la "noue", où se croisent la nef et le transept de la cathédrale.

"En 40 ans d'expérience, je n'ai jamais connu un incendie de la sorte", affirme celui qui estime que la protection incendie mise en place dans la cathédrale était à son plus haut niveau.

"Lorsque je me suis occupé de la détection incendie, qui a été un dispositif très onéreux, il fallait très peu de minutes pour qu'un agent aille faire la levée de doute, nous avons fait remplacer de nombreuses portes en bois par des portes coupe-feu, nous avons limité tous les appareils électriques, qui étaient interdits dans les combles", affirme-t-il.

Le mystère sur les causes de l'incendie reste donc entier. Un expert du secteur de la construction, confie également son incompréhension : "L'incendie n'a pas pu partir d'un court circuit, d'un simple incident ponctuel. Il faut une vraie charge calorifique au départ pour lancer un tel sinistre. Le chêne est un bois particulièrement résistant. »

Source

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