Ursula von der Leyen est la Présidente de la Commission européenne depuis le 1er décembre 2019.
Elle a orchestré la grande opération vaccinale, son fils travaillant pour le cabinet McKinsey (chargé de la communication de la politique sanitaire dans plusieurs pays dont la France) et son mari à la direction d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies géniques, et chargée notamment du lancement de vaccins cellulaires ciblant le SARS-CoV-2.
Elle l’a fait de façon officieuse, échangeant pendant des semaines des coups de téléphone et des SMS avec le P.D.G. de Pfizer, Albert Bourla, avant d’aboutir en mai 2021 à la signature d’un contrat prévoyant la livraison de 1,8 milliards de doses jusqu’en 2023, ainsi que le révéla le New-York Times. Et lorsque le médiateur européen lui demandera communication de ces échanges privés avec l’industriel, madame Von der Leyen dira qu’elle les a détruits.
Pendant ce temps-là, les dirigeants de Pfizer s’enrichiront massivement à titre personnel, profitant du succès des négociations commerciales de leur société pour y ajouter la rente boursière. Son P.D.G., déjà cité, en profitera pour vendre 5,6 millions de dollars d’actions (et sa vice-présidente 1,8 millions).
Les rares journalistes qui s’en inquièteront oublieront étrangement de signaler que Pfizer est l’industriel pharmaceutique le plus lourdement condamné de l’histoire par la justice américaine pour ses multiples malversations : 42 condamnations et plus de 6,5 milliards de dollars d’amendes depuis 1995. Une délinquance organisée donc, par des dirigeants à qui les sanctions pécuniaires régulières ne font pas peur compte tenu des bénéfices engrangés (36 milliards de dollars sur le vaccin Cominarty en une seule année).
Aussi est-ce sans surprise que l’on apprendra grâce au British Medical Journal que ces vaccins ont été fabriqués en urgence, par un sous-traitant de Pfizer, dans un souci de rentabilité bafouant plusieurs règles éthiques et trichant avec les données (notamment en dissimulant les effets indésirables).
Il est intéressant aussi de connaître le “lien familial” des von der Leyen avec Kiev et avec l’action de la Wehrmacht et des SS en Ukraine durant la guerre de 1941-1945.
Aujourd’hui, le SPD n’est que théoriquement “de gauche”. Il est en fait un promoteur enthousiaste du réarmement de l’Allemagne, tout autant que la CDU. Quant au complexe de culpabilité, il a disparu de l’écosystème politique allemand. Curieusement, l’ancienne ministre de la défense allemande de la CDU, Ursula von der Leyen, avait une ascendance nazie à revendiquer, tant du côté de son mari que du sien. Mais cela n’avait guère d’importance lorsque Angela Merkel lui a confié la tâche de diriger la Bundeswehr pendant sept ans.
Le grand-père de Mme von der Leyen était un nazi qui s’est porté volontaire pour combattre en 1940, il est devenu sergent-chef dans la Wehrmacht et dirigeait une unité dite "anti-partisane" sur le front soviétique oriental, chassant les groupes de résistance, participant à la prise de Kiev, la capitale de l’Ukraine, et prenant part au massacre barbare de Babi Yar en septembre 1941, au cours duquel plus de 33 000 habitants juifs de Kiev ont été abattus de sang-froid. On dit que “jusqu’à sa mort, il fulminait contre les Juifs, les Français et la perfide Albion. Il ne quittait plus jamais le pays et frôlait la panique à l’approche d’une frontière”.
On apprend dans le journal La Croix, qu’en 2013 Ursula von der Leyen, en tant que ministre de la Défense, a imposé la fin de la tradition des honneurs faits à des officiers ayant servi Hitler. Si elle a imposé la fin de cette tradition, c’est sûrement pour faire oublier les liens avec l’Ukraine de son ascendance nazie au moment où se préparait dans cette région du monde la guerre des USA contre la Russie. En effet, cette guerre commence peu après, en 2014, avec le coup d’État nazi en Ukraine.
Conclusion : Il n’est pas étonnant que les deux politiques les plus nocives aient été promues par Ursula von der Leyen, celles relatives au Covid et à l’Ukraine.