L’émission atrocement démago de la Glucksmann, chaque soir, après les épreuves des JO « Quels jeux ! », c’est une épreuve en soi, tant le format suinte la bien-pensance et la propagande progressiste. On peut dire que Salamé, c’est une handicapée du journalisme, du journalisme à une jambe.
La bonne personne pour présenter ça, c’était Grands Corps Malade (GMC), handicapé de son état après une chute dans une pistoche vide, alors qu’il était jeune. Il représente bien – à son corps défendant – les banlieues boiteuses. Aujourd’hui, il a fait de son handicap une force, comme Jamel avec son bras en moins ou Omar Sy avec son talent en moins : GCM est devenu l’idole de l’ÉducNat. Il réalise des films publicitaires pour la banlieue et le handicap, mais avec de grosses lunettes roses, la couleur du socialisme de Jack Lang.
Cet homme était fait pour présenter "Quels jeux !" à la place de Léa, qui n’est là que par double piston, celui de son père – une pointure du mondialisme – et de son mari, le grand démocrate « socialiste » qui veut nous pousser dans une guerre fratricide contre la Russie.
Le comité paralympique a annoncé qu’il voulait que Paris dépasse l’audience cumulée de Tokyo 2021 et Rio 2016... Quel match à la con : il faut plus de téléspectateurs, parce qu’il faut plus d’annonceurs, tout simplement. Pourtant, ça ne cartonne pas : si l’émission de la Glux fait 2 millions de téléspectateurs (toujours diviser par deux les chiffres donnés par les chaînes) le soir, c’est surtout pour le divertissement, pas le sport. Le sport, lui, rassemble difficilement 1,7 million d’aficionados, donc moins de 800 000. Or, il y a officiellement 2,8 millions d’handis en France. Si on retire les tout petits et les vieux qui s’en foutent, ça veut dire que les 3/4 ne regardent pas les JOP, surtout si 300 000 « valides » regardent aussi, par curiosité, ou parce qu’ils se font chier.
Conclusion : la majorité des handis n’en ont rien à abattre des JOP. Dans ce cas, on n’a pas à culpabiliser de ne pas assister au spectacle survendu par les autorités médiatico-politiques.
Une petite vanne pour la fin, toutefois : la cérémonie d’ouverture du 28 août a été survolée par les classiques avions de la Patrouille de France, mais qui n’avaient qu’une aile, du moins on espère.