7 août 2013
3
07
/08
/août
/2013
09:26
C’est une histoire très « XXe siècle », qui peut sembler loin de nos préoccupations actuelles. Elle est pourtant exemplaire : celle de Garry Davis, ce « citoyen du monde » mort la semaine dernière à l’âge de 91 ans, toujours porteur d’une utopie formidable.
C’est une tribune de Pierre Bergé dans Libé ce lundi matin qui m’a appris la disparition de Garry Davis le 24 juillet. Un de ces noms « que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître » comme disait le chanteur, qu’il faut replacer dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale, du monde de l’après-guerre, de la guerre froide et de la peur d’un nouveau conflit mondial.