Deux mille militaires français sont déployés en République centrafricaine dans le cadre de l’opération Sangaris lancée le 5 décembre dernier. Des soldats qui sont de plus en plus nombreux à faire remonter des récits parfois sidérants sur leurs conditions de vie et l’état de leur matériel sur place. C’est sur Internet que ces militaires font entendre leur grogne. Morts ou salaires impayés. La France, qui a un grand nombre de jihasidtes en Syrie payent aussi des libérations via la Turquie.
L’information de la mort de 4 soldats français est classée top secret défense par les autorités centrafricaines et le commandement des forces Sangaris à Bangui. C’est le site centrafricain Kangbi-Ndara.oubangui.net qui révèle l’information recoupée par deux sources concordantes proches des opérations militaires. Cet incident a eu lieu dans la ville de Grimari (Centre-est). Les familles auraient été informées et priées de garder le silence.
Dans le même registre, le magazine allemand Focus a révélé que la France des discours n’est pas celle des actes. En effet, les 4 otages français, prisonniers des terroristes, ont été libérés en Syrie après sue la France ait payé une rançon. Le journal allemand ne s’embarrasse pas du conditionnel. Et sachant le sérieux de la presse mainstream allemande aux antipodes des la française, je vous laisse seuls juges. Voici ce que le journal FOCUS (article payant) dit :
Pendant dix mois, ils ont été retenus prisonniers en Syrie dans un cachot à Alep et torturés. Maintenant, le gouvernement français a obtenu la libération des quatre journalistes enlevés et embastillés par des islamistes. Le prix de cette libération est très élevé d’après les informations obtenues par FOCUS. Le gouvernement français a payé pour la libération de quatre journalistes enlevés en Syrie, une rançon de 18 millions de dollars. FOCUS a obtenu ces informations dans les cercles de l’OTAN à Bruxelles, en Belgique.
On apprend que la Turquie était en relation directe avec ces groupes terroristes. C’est sans surprise. Pire, on apprend aussi que la France avait une géolocalisation précise de l’endroit où ces 4 confrères se trouvaient en Syrie. Cherchez l’erreur. Encore plus terrible, pour garder le secret indique FOCUS, le porteur de billes était le ministre de la Défense, Jran-Yves Le Drian en personne.Des confirmations que la Syrie est victime d’un complot ourdi par l’internationale terroriste, c’est à dire les Gouvernements occidentaux et, bien sûr, les monarchies du Golfe. Que cette histoire vous ouvre les yeux sur la vraie nature de ces gens qui accusent les autres de ce qu’ils sont. Ils sous-traîtrent honteusement la mort loin de chez eux. Mais, attention au retour de bâton avec les jeunes jihadistes qui ont désormais l’expertise du coup de feu…