Le 24 novembre, la Cour d’appel de Caen a condamné les militants d’Alençon poursuivis pour avoir appelé au boycott citoyen contre un Etat qui viole de façon permanente et réitérée le droit international et humanitaire.
Nos amis avaient été condamnés en première instance, en septembre 2013, pour « discrimination à raison de l’origine, l’ethnie ou la nationalité - entrave à l’exercice d’une activité économique ».
A l’origine des poursuites, les scandaleuses circulaires Alliot- Marie et Mercier de février 2010 et mai 2012, à ce jour toujours pas abolies, et qui engagent donc désormais, de fait, la responsabilité de l’actuelle Garde des Sceaux.