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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 11:09

C'est la déferlante des «PV» à Paris, depuis quinze jours. Les deux sociétés privées – qui ne mettent plus des PV mais des "forfaits post-stationnement" (FPS) depuis le 1er janvier – ont déjà réalisé plus de 750.000 contrôles.

Par ailleurs, les contrevenants semblent avoir adopté un nouveau comportement face au délit. «Je constate que dans les premiers chiffres, beaucoup ont choisi de payer l’amende instantanément, qui est ainsi réduite. C’est une bonne chose», a évoqué hier Anne Hidalgo, la maire de Paris.

Car si ces derniers règlent dans les quatre jours, le montant passe de cinquante à trente-cinq euros. Le nombre de paiements spontanés s’est donc envolé de 40 % dès la première semaine, comparé à la même période l’an passé.

«Par rapport à la même période, le taux de paiement du stationnement est passé de 7,7 % à 13,2 %», se réjouit-on à la mairie, qui souligne ainsi l’efficacité de ce dispositif. Et avec 50.000 amendes décomptées, c'est près de 7 % des contrôles qui se sont avérés payants pour la mairie.

Une mesure efficace donc, mais qui en énerve plus d'un. Les médecins par exemple, jusque là exemptés d'horodateurs, et plus particulièrement... les policiers, qui ne sont plus épargnés non plus.

«Si les policiers risquent d'être verbalisés, ils prendront le temps de chercher une place et l'intervention attendra», a regretté à ce sujet Nicolas Pucheu, le secrétaire départemental adjoint du syndicat UNSA Police Grand Paris. (NDLR : c’est pourtant le côté plaisant de toute cette vaste arnaque).

 

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 11:00

Anthony Seldon, ancien directeur du collège Wellington en Angleterre, aujourd’hui vice-chancelier de l’université de Buckingham, historien politique et commentateur reconnu dans le domaine de l’éducation, a fait cette prédiction lors du Festival britannique des sciences en septembre dernier : les robots remplaceront les professeurs avant 2028. Son annonce vient de faire l’objet d’un article sur le site du Forum économique mondial (qui s’apprête à se réunir à Davos comme tous les ans), avec une idée en filigrane : même si des emplois risquent d’être perdus, l’entrée de la robotisation et de l’intelligence artificielle dans la classe pourrait régler des problèmes récurrents.

L’auteur de l’article, Kristin Houser de la revue Futurism, fait remarquer que Sir Anthony est la première personne à avoir annoncé des délais aussi précis en matière de mécanisation d’un métier humain par excellence : l’enseignement. Le contexte justifie quelque peu la prédiction de l’expert en éducation, puisque la recherche prévoit la robotisation d’une part considérable des emplois à travers le monde, et une « disruption » (mot très à la mode dans les cercles globalistes) provoquée par une explosion du chômage.

Kristin Houser fait observer que les machines remplacent déjà des experts financiers, sont capables de faire mieux que des médecins dans certains domaines, et dépassent la créativité des plus doués des publicistes.

Alors remplacer les professeurs par des robots pour répondre aux difficultés de l’éducation et de l’enseignement ?

 

Sont-ils irremplaçables, les maîtres et maîtresses qui enseignent à nos enfants ? Kristin Houser ne le pense pas, et à travers son analyse, on devine une volonté de préparer les esprits. « Pour faire court, c’est un métier qui exige des professeurs des qualités quasi surhumaines d’empathie, de courage et d’organisation. Concevoir des enseignants robotiques qui puissent répondre à toutes ces demandes peut bien constituer un défi, mais au bout du compte, ces entités douées d’intelligence artificielle pourraient-elles résoudre les problèmes les plus répandus et les plus systémiques en matière d’éducation ? », s’interroge-t-elle.

Ce sera d’autant plus facile qu’aujourd’hui, les professeurs dans bien des pays sont déjà formés (qu’ils le veuillent ou non) à décerveler les jeunes par des méthodes d’apprentissage qui, précisément, ne respectent pas leur manière d’apprendre, mécanisant leur pensée par le biais des méthodes globales et laissant pour compte des armées de « dyslexiques ».

Si la prédiction de Sir Anthony Seldon se réalise, le pouvoir de ceux qui programmeront les robots instructeurs sera décuplé, en permettant une unification terrifiante de l’instruction – et dès lors, du formatage des esprits.

 

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 10:49

C’est littéralement un « appel au secours » qu’ont lancé, ce mardi matin, une soixantaine d’enseignants du lycée Joseph-Gallieni (sur 120), route d’Espagne à Toulouse. Devant l’entrée de l’établissement qui accueille plus de 1 000 élèves du CAP au bac professionnel et technologique, une large banderole réclame « un plan Marshall ».

Le malaise ne date pas d’hier, mais la coupe est pleine. Les cours ont été suspendus, ce lundi toute la journée, et remplacés par des ateliers pour que la parole s’exprime et atténue les maux d’un lycée qui est devenu un espace de non-droit. Les profs sont au bord de la crise de nerfs, certains pleurent en racontant leur quotidien fait d’incivilités et de violences.

Agressions verbales et physiques « qui se généralisent et se banalisent », « intrusion d’élèves extérieurs qui viennent semer le trouble et commettent des infractions », vols en classe, à l’internat, généralisation de bagarres violentes dans l’enceinte de l’établissement, violences sexistes subies par les filles, élèves et parents qui viennent la peur au ventre, souffrance des enseignants, trafic de stupéfiants, etc. La liste est longue et les moyens pour lutter plutôt aux abonnés absents, considèrent les équipes pédagogiques en colère.

 

Onze assistants d'éducation (AED) sont actuellement en poste au lycée Galliéni où ils sont manifestement débordés. Les profs du lycée, qui ne cessent d'alerter leur hiérarchie, réclament dix postes d'AED supplémentaires pour faire face à l'urgence, «gérer les flux d'élèves et pour surveiller plus efficacement les couloirs et espaces publics du lycée»…

Les enseignants en colère envisagent aussi la mise en œuvre d'une «véritable politique différenciée et réfléchie du recrutement des élèves». Ils entendent ainsi «améliorer le climat scolaire pour ne pas être tenu de reprendre, d'une année sur l'autre, des élèves perturbateurs et récidivistes qui cumulent les sanctions suite à des agressions verbales ou physiques à l'encontre du personnel». Enfin, ils demandent la présence «d'agents de sécurité à l'entrée de l'établissement et habilités à fouiller»…

 

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 10:41

C'est une première en France. Nice teste à partir de ce lundi 15 janvier une nouvelle application, appelée "Reporty", afin d'accroître encore un peu plus la sécurité dans les rues de la cité azuréenne. "Chacun d'entre nous doit devenir un citoyen engagé acteur de sa propre sécurité, et donc de la sécurité collective", a déclaré Christian Estrosi, maire Les Républicains de la ville. 

Ce dernier estime que cette application, développée en Israël par la start-up de l'ancien premier ministre Ehud Barak, est "révolutionnaire". Elle permet à un personne témoin d'une incivilité, d'une agression ou encore d'un problème de santé de filmer l'incident en temps réel.

L'ancien ministre, qui prouve une nouvelle fois son appétence pour la technologie en matière de sécurité, a ainsi donné trois exemples précis qui peuvent nécessiter le recours à la nouvelle application : un maraudeur lorgnant sur des voitures en stationnement, une fourgonnette déchargeant sur la voie publique de l'électroménager usagé et un cycliste renversé. 

La personne témoin d'un incident pourra entrer en contact avec le Centre de supervision urbaine (CSU), auquel elle pourra transmettre "en direct des images de bonne qualité", explique la mairie. Cela devrait permettre aux autorités de "géolocaliser, de cibler les caméras sur la zone et de dépêcher une patrouille".

Un système de messagerie instantanée avec traduction automatique permet aussi à un touriste étranger ne parlant pas français de se faire comprendre par la police municipale niçoise.

 

Si Christian Estrosi envisage aisément un déploiement "à grande échelle", cette nouvelle application va actuellement être testée par 2.000 personnes à Nice. Essentiellement des agents de la ville, des comités de quartier ou encore des membres du réseau Voisins vigilants.

Nice, dont la police municipale est la première de France en termes d'effectifs, est quadrillée par 1.950 caméras de vidéosurveillance, soit 27 au kilomètre carré. Un record dans l’Hexagone.

 

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 10:35

Trump s’est inspiré de sa politique envers certains des États arabes du Golfe mardi soir quand il s’est mis à accuser les Palestiniens d’ingratitude et d’insubordination dans un tweet. « Nous payons aux Palestiniens des CENTAINES DE MILLIONS DE DOLLARS par an et nous n’obtenons en échange ni reconnaissance, ni respect. Ils ne veulent même pas négocier, a-t-il déclaré. « Si les Palestiniens ne veulent plus parler de paix, pourquoi devrions-nous leur verser autant d’argent à l’avenir ? ».

C’est la même méthode, mais à l’envers, que celle qu’il applique avec les États du Golfe. Il a exigé d’eux des centaines de milliards de dollars en échange de sa protection militaire. Et il demande aux Palestiniens et à l’Autorité Palestinienne des « concessions » sur Jérusalem et la Cisjordanie en échange d’une maigre donation de 300 millions de dollars par an. Un chantage plus éhonté est difficile à imaginer.

Trump est passé maître dans l’art de l’extorsion de fonds, et il ne connaît pas d’autre manière de faire des affaires. Il s’agit de faire des affaires et des profits sans tenir compte de la morale, ni des valeurs, ni du droit international, ni d’aucunes considérations politiques, ni des droits humains. Il faut se soumettre aux diktats de Netanyahou – relayés par le gendre de Trump, Jared Kushner – sinon…

L’aide américaine à l’Autorité palestinienne a pour objectif de pacifier le peuple palestinien en le soudoyant, pour qu’il abandonne toute forme de résistance à l’occupation et ne s’occupe que d’améliorer ses conditions de vie au titre de la « paix économique » ; et pendant ce temps son élite dirigeante à Ramallah est arrosée de prêts, d’hypothèques, de belles voitures et d’autres pièges de luxe.

Les conditions de vie de la majorité des Palestiniens étaient bien meilleures avant l’avènement de l’Autorité Palestinienne et la signature des accords d’Oslo. Ils n’étaient pas plus prospères matériellement, mais leur slogan était « pain et dignité » et ils ont lancé un soulèvement populaire qui a gagné le respect du monde entier, dévoilé au grand jour les pratiques inhumaines de l’occupation, et remis en question « l’existence » même d’un État israélien. C’est la raison pour laquelle les esprits néocolonialistes occidentaux ont décidé de s’occuper d’eux et de concocter les accords d’Oslo.

 

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 10:28

C’est avec une profonde tristesse que nous venons d’apprendre le décès de Jean Salem. Jean Salem, philosophe, professeur à la Sorbonne, directeur du Centre d’histoire des systèmes de pensée moderne était le fils du communiste internationaliste Henri ALLEG, auteur de La Question, qui exposa à la face du monde la barbarie coloniale en Algérie.

Digne fils de son père, Jean Salem fut notamment en 1982 l’initiateur – avec Jeannette ThorezVermeersch et 7 autres responsables vétérans du PCF – de « la lettre des 9 au Comité Central du PCF », intitulée « Où va le Parti? ». En 1998, il postfaçait La vie en rouge de Jeannette Thorez-Vermeersch, Editions Belfond. Il est l’auteur de nombreux ouvrages et travaux de philosophie sur Hippocrate, Epicure, Maupassant, Feuerbach, Marx et Lénine…

Il savait être un redoutable pamphlétaire anticapitaliste, anti-impérialiste à la manière du célèbre chroniqueur de l’Huma, André Wurmser, comme par exemple dans son ouvrage Rideau de fer sur le boul’mich : Formatage et désinformation dans le monde libre, réédité récemment aux Editions Delga et un vulgarisateur hors-pair des grands classiques du marxisme-léninisme, à la manière de G. Politzer ou G. Cogniot comme dans son Lénine et la révolution, Encre Marine. Au contraire de beaucoup d’intellectuels membres du PCF qui ont jeté le « bébé et l’eau du bain », Jean Salem a toujours été ce militant communiste marxiste-léniniste qui, par ses écrits, a œuvré comme penseur intellectuel et pédagogue, surtout après la défaite du camp socialiste et de l’URSS en 1989/1991.

 

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 10:19

Durant la dernière semaine, le pouvoir islamiste a fait arrêter plus de 600 manifestants alors que les travailleurs tunisiens descendent massivement dans la rue contre les mesures d’austérité mises en oeuvre par le régime. Rien que jeudi ce sont plus de 300 manifestants qui ont été embastillés d’après les chiffres du ministre de l’intérieur tunisien. La répression féroce a fait également de très nombreux blessés et au moins un mort.

Les travailleurs protestent contre l’augmentation des prix de nombreux biens et services (café, thé, gaz, voiture, communications téléphoniques) alors que les salaires sont bloqués et que le chômage explose laissant la jeunesse sans travail ni avenir.

Alors que la colère gronde dans des dizaines de villes de Tunisie, le silence est total en France sur ce qui se passe juste de l’autre coté de la Méditerranée, à la différence de la couverture très partiale des manifestations en Iran.

 
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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 10:15

Au venezuela, les violences de l’opposition putchistes, aux ordres de l’impérialisme américain et récemment primée par le parlement européen continuent. A Valéra, un député chaviste vient d’être assassiné par un tueur. Un assassinat politique qui s’ajoute à l’interminable liste des militants de la cause des travailleurs assassinés en Amérique Latine. Cela les téléspectateur de France 2 qui regardent Envoyé Spécial n’en sauront rien…

Tomas Lucena n’est pas le premier député chaviste a être assassiné dans un pays où l’oligarchie, furieuse de la nationalisation du pétrole, n’a cessé depuis 2002 de recourir aux tentatives de putsch et à la violence pour reprendre le pouvoir. Il faut ici rappeler que sur les 22 dernières élections, elle n’en a gagné que 2. Lors des dernières élections régionales et municipales, l’opposition a été désavouée par le peuple vénézuélien qui a plébiscité la révolution bolivarienne dans les urnes.

 

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 10:11

La version consensuelle :

 

Les États-Unis n'entendent pas s'effacer en Syrie. Au contraire, comme semble le prouver l'annonce de la création d'une « force frontalière » par la coalition internationale sous commandement américain. Cette « Force de sécurité frontalière » devrait être constituée de 30 000 hommes, dont la moitié seraient des membres des Forces démocratiques syriennes (FDS). L'autre moitié serait composée de nouvelles recrues, dont quelques centaines sont déjà en formation. D'après la coalition, cette force devrait être stationnée le long des frontières à l'est et au nord de la Syrie, soit à l'orée de l'Irak et de la Turquie, mais aussi sur les lignes de démarcation qui séparent les territoires dominés par les Kurdes du reste du pays. Son objectif affiché ? Empêcher une renaissance de l'État islamique, aujourd'hui en pleine déroute en Syrie et en Irak.

 

https://www.lorientlejour.com/article/1094504/la-force-frontaliere-de-washington-en-syrie-nouvelle-epine-dans-le-pied-derdogan.html

 

Et l’autre :

 

Le Pentagone a incorporé entre 10 et 15 000 anciens jihadistes de Daesh à sa nouvelle Force de sécurité des frontières (Syrian Border Security Force) en Syrie.

Un nombre équivalent d’anciens jihadistes de Daesh a été envoyé en Afghanistan.

La Force de sécurité des frontières (SBSF) est principalement constituée de soldats des Forces démocratiques syriennes (FDS), elles-mêmes constituées autour des Unités de protection du peuple (YPG), la milice sœur du PKK en Syrie.

230 de ces soldats recevront une formation de l’US Army.

Ainsi, plus de 10 000 anciens jihadistes de Daesh se battront aux côtés des Kurdes syriens sous commandement direct du Pentagone.

Le Pentagone entend poursuivre son projet de « Rojava » et non pas celui de la France. Il s’agirait d’un simili-État, comparable à celui non-reconnu du Kurdistan iraquien, organisé selon le modèle de Murray Bookchin.

Par cette décision, les anciens jihadistes de Daesh sont donc soudainement devenus atlantistes et laïques.

 

http://www.voltairenet.org/article199392.html

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13 janvier 2018 6 13 /01 /janvier /2018 11:26

En ville, dans sa berline dernier modèle payée à prix d’or, le conducteur sursaute sur les ralentisseurs, craint le flash dans la zone 30, s’arrête devant des panneaux « Stop » qui semblent avoir été plantés là par hasard, redoute la caméra en haut du feu tricolore puis s’élance dans la grande aventure de la route secondaire limitée à 80 à bord de sa Citroën DS3 VTI dont le vendeur a vanté l’accélération de 0 à 100 km/h en 12,3 secondes.

À ce moment précis, l’automobiliste se demande s’il n’aurait pas mieux fait d’acheter sur Le Bon Coin une brave Peugeot d’occase à 2.500 €. Le genre de caisse aux performances amplement suffisantes pour affronter cet enfer de limitations, de radars et de bosses en béton qui bousillent les amortisseurs…

 

Dans cette ambiance de réglementation routière chaque jour un peu plus restrictive, posséder un véhicule récent est un peu comme acheter un piano à queue pour jouer « Au clair de la lune ». Alors, de deux choses l’une : ou bien les constructeurs s’adaptent en proposant des bagnoles moins chères qui n’avancent pas – de 0 à 30 km/h en 60 secondes (!) – ou bien le consommateur renonce à dépenser des 15, 20, 30.000 € et plus pour des voitures qu’il sera contraint d’utiliser au quart de leurs possibilités. Un boycott spontané justifié par la disproportion entre l’offre et la réalité des limitations.

Le passage devant une école de mon quartier comporte quatre ralentisseurs successifs et deux feux rouges. Un de ces jours, un automobiliste va se faire écraser par des enfants qui sortent en courant ! J’allais oublier l’agent municipal en gilet orange qui tend les bras pour stopper les inconscients qui arrivent à 3 km/h. 

 

Est-ce que la solution finalement ne serait pas l’immobilisme ? Le voyage virtuel. Le tout amazon.fr… Le désert dehors. Plus personne. La vie limitée à 0 km/h.

 

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