Monsieur Gérard Depardieu, spécimen de gueule de vache qui déshonore le monde bovin, a donc décidé de soutenir Monsieur Sarkozy. Comme il dispose d’une cervelle ramollie et déjà pas très performante au départ, Depardieu, après avoir dit haut et fort qu’il avait la bite trop grosse pour pisser comme un être humain dans une bouteille de Vittel, vient au secours de la plus petite queue du monde politique, celle de Mr Sarkozy.
Plus petite, pour ne pas dire invisible à l’œil nu.
Et comme ce sont deux charognes milliardaires, ça risque de plaire aux cons d’électeurs…ça risque, mais c’est un gros risque. Un acteur, en effet, peut être doublé d’un parfait crétin. Un Président de la République aussi. Ils peuvent aussi être triplés d’un parfait salaud. On entre ici dans le cas du cumul des fameux triples cons, que Siné invitait à « se casser » dans « Siné Mensuel » de Février !
En effet, Depardieu est devenu un richissime connard, par de multiples escroqueries, couvertes par le Président de cette maffia qui prétend représenter le peuple. Et voilà le secret de son grand amour pour la petite poupée gonflable, et dégonflable, dont l’un des fils poursuit ses études à Dubaï, tandis que l’autre joue à lancer des tomates dans la tronche d’un garde de l’Elysée.
Ainsi un programme de gouvernement est mis en place. Depardieu, dit encore « Pétarou » dans sa ville d’origine, Châteauroux, pourrait nous faire un numéro de dressage de bites, que les étrangers s’empresseraient de visiter. Il suffit de le mettre en cage et de le laisser aller à sa bonne nature.
On lui adjoindra évidemment son grand amour du même gang et auteurs de nombreuses escroqueries de très haut vol. Dipardiou (c’est son nom citadin, et mondain) pourrait se branler en public, à la grande satisfaction des demi-mondaines qui peuplent actuellement l’ensemble de l’univers médiatique.
Toutefois, on n’oubliera pas que parmi les grands de ce monde, Gérard Depardieu-Sarkozy a l’intention d’incarner un personnage viril, qui, cette fois, « porte à gauche ».
Il s’agit de Mr Dominique Strauss-Kahn, grand amateur de sucettes, ce qui est attendrissant, et de femmes de ménage un peu colorées. Madame Isabelle Adjani, sollicitée par l’immense penseur de la droite menteuse et voleuse (pléonasmes) aurait déclaré :
« - Gérard je l’aimais bien quand il était plus jeune et moins vulgaire…et qu’il se lavait davantage le bas ventre…Je m’encanaillais !...et puis de savoir qu’il est attelé avec Mme Carla Bruni-Depardieu, je me dis qu’il a dû attraper quelque sale maladie…alors je préfère m’abstenir ! »
Attelé ? En effet, la force bovine impressionnante de Mr Pétarou l’a fait remarquer au dernier salon de l’Agriculture, où il est arrivé avec sa bonbonne de cinq litres pour pouvoir se soulager dans de bonnes conditions. Il était en effet placé près d’une bombe sexuelle, Madame Christine Boutin, une belle fille du pays, qui est habituée au bétail local et qui ne recule pas devant l’odeur naturelle de Gérard Depardieu.
Mais bon si nous faisions un peu de politique, de la vraie, de celle qui parle du sort des êtres humains. Eh bien je suis heureux d’avoir trouvé dans l’actualité, des vrais ouvriers, qui parlent normalement, et qui ne se laissent pas impressionner par les « communicants », avec ou sans vases.
Je veux parler, bien entendu, des ouvriers et employés de Arcelor-Mittal, qui ont su parler aux prétendus chefs d’une entreprise qu’ils seraient bien incapables de faire fonctionner ! Et ils n’y sont pas allés de main morte !
Ceux là savent parler aux faignants qui viennent les « visiter ». D’abord, ils les tutoient, ensuite ils ont le langage approprié et suffisamment méchant ! Ainsi, Edouard Martin n’a pas hésité à traiter le petit président de « voyou », comme je le fais ici !
Je trouve qu’il a utilisé aussi une excellente image : « Ah ! le voilà celui qui défend le peuple !...eh bien t’es en train de le gazer, le peuple ».
A cela s’ajoutaient quelques autres gentillesses du même calibre. Ca fait tout de même plaisir à voir et à entendre.
Surtout le mot « calibre ». « La semaine prochaine ça va chauffer encore plus ». On peut donc supposer que les ouvriers vont vraiment venir avec les calibres. A la chasse aux salauds, comme ça s’est toujours fait dans toutes les révolutions. Et puis, dans le cas qui nous concerne, il s’agit d’une simple battue aux nuisibles.
Il y en aura d’autres !
Dessin emprunté à Siné : http://www.sinemensuel.com/zone-de-sine/