Blog de la chanteuse Elizabeth
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Le professeur Ferguson est toujours la référence européenne en matière de modélisation des épidémies.
- Pourtant c’est lui qui, en 2001, avait convaincu le Premier ministre Tony Blair de faire abattre 6 millions de bovins pour stopper l’épidémie de fièvre aphteuse (une décision qui coûta 10 milliards de livres et qui est aujourd’hui considérée comme aberrante).
- En 2002, il calcula que la maladie de la vache folle tuerait environ 50 000 britanniques et 150 000 de plus lorsque elle se transmettrait aux moutons. Il y en eu en réalité 177.
- En 2005, il prédit que la grippe aviaire tuerait 65 000 Britanniques. Il y en eu au total 457.
Peu importe, il est devenu conseiller de la Banque mondiale et de nombreux gouvernements. C’est lui qui fit parvenir le 12 mars une note confidentielle au président français Emmanuel Macron annonçant un demi-million de morts en France. Affolé celui-ci prit la décision de confinement généralisée le soir même. C’est encore le professeur Ferguson qui annonçait publiquement, le 16 mars, que, si rien n’était fait, on compterait jusqu’à 550000 morts au Royaume-Uni et jusqu’à 1,2 million aux États-Unis, contraignant le gouvernement britannique à revoir sa politique.
Simon Cauchemez, qui était en 2009 son bras droit, dirige aujourd’hui l’unité de modélisation de l’Institut Pasteur. Il est bien sûr membre du Comité scientifique de l’Élysée où il a proposé le confinement généralisé. Ce comité a été constitué par le directeur général de la Santé, le professeur Jérôme Salomon, fils spirituel et ancien conseiller technique de Bernard Kouchner.
La prise de pouvoir de l’équipe Ferguson est fondée sur une escroquerie intellectuelle : la « biologie mathématique » (sic) pourrait justifier la gestion libérale des services de santé.
Malheureusement si les statistiques permettent d’évaluer après coup les effets de telle ou telle mesure, elles ne peuvent pas prévoir le comportement d’un organisme vivant, d’un virus.
Au demeurant, l’extrapolation de mesures concernant des grippes à l’épidémie de Covid-19 est une absurdité : la grippe touche de nombreux enfants, pas le Covid-19 qui ne tue en termes démographiques que des personnes âgées ou diabétiques ou encore hypertendues. Les enfants contaminés au Covid-19 n’ont qu’une très faible charge virale, on ignore même à ce jour s’ils sont contagieux.
Le professeur Ferguson a reconnu, le 22 mars, avoir effectué ses calculs sur l’épidémie de Covid-19 exclusivement avec une base de données vieille de 13 ans relative aux épidémies de grippe.
La dictature sanitaire a aussi effacé d’un trait de plume la liberté de circulation. Les randonneurs sont traqués par hélicoptère et les résidents secondaires font l’objet d’enquêtes judiciaires. Le confinement est implacable. Assujettis à demeurer sur place comme des détenus sous bracelet électronique.
Un bracelet électronique évoqué, d’ailleurs, pour le « déconfinement » puisque celui-ci pourrait être conditionné à un (auto)-flicage numérique assuré par les téléphones portables. Annoncée, au moins comme hypothèse à débattre, par Macron dans son allocution du 13 avril, voici une belle manœuvre en trois temps :
– premier temps, on vous confine,
– deuxième temps, on accepte de vous déconfiner en échange de votre acceptation d’une laisse électronique,
– troisième temps, la laisse est obligatoire pour tout le monde.
La liberté d’expression est, aussi, gravement mise en cause. Dès le 24 février, l’ancien préfet Laurent Solly, PDG de Facebook France, choisissait France Info pour annoncer que le réseau social qu’il dirige « régulerait » (c’est-à-dire censurerait) les informations préjugées fausses. Le tout en liaison avec les fact-checkers subventionnés de Libération, du Monde et de l’AFP. Des fact-checkers qui n’ont pas dénoncé un seul mensonge gouvernemental mais traqué toute opinion différente, divergente ou dissidente.
La dictature sanitaire est aussi, bien sûr, une dictature médicale. Et même une triple dictature médicale.
D’abord parce que toutes les décisions ont tendance à être prises sous le seul aspect médical. Or, la vie, ce n’est pas seulement du quantitatif (vivre les plus longtemps possible), c’est aussi du qualitatif (vivre le mieux possible, vivre libre, dignement, socialement, économiquement). Ce n’est pas à des comités Théodule – fussent-ils baptisés « scientifiques » – d’imposer des choix politiques. Il serait temps que les experts – qui, au passage, se sont beaucoup trompés ! – se calment. Les années de vie se comptent en printemps : pourquoi avoir volé un printemps à 67 millions de Français en fermant les parcs et les forêts, bien au-delà des nécessités de la distanciation et des gestes barrière ? Pourquoi priver de toute visite des personnes très âgées dont l’espérance de vie se compte en quelques années, voire en quelques mois, sinon en quelques jours… Il arrive à la technocratie médicale de manquer d’humanité, sinon de sens commun.
Ensuite parce que la liberté de prescription a été mise en cause, notamment dans l’affaire de la chloroquine. L’État – la technocratie médicale proche des laboratoires – s’est immiscé dans la libre relation entre le médecin et le patient, fondement du serment d’Hippocrate. Chef de service à l’hôpital de Garches, le professeur Perronne s’est insurgé contre la dictature de la direction générale de la santé (DGS) et des agences régionales de santé (ARS). Il a affirmé : « La France est en train de dérailler. En Allemagne, les médecins sont libres. Ici, tout est fliqué. C’est infernal, j’ai l’impression de vivre sous une dictature. Tous ces médecins administratifs qui n’ont pas vu un malade depuis 20 ans nous font la leçon. »
La pandémie du coronavirus est une opportunité considérable pour les gouvernements et les entreprises d’espionnage d’étendre leur portée, y compris dans la vie privée des individus.
Le célèbre NSO Group est l’une des entreprises qui cherche à tirer parti du coronavirus.
Elle produit le logiciel malveillant appelé Pegasus qui peut discrètement s’insérer dans le téléphone portable d’une cible.
Il peut ensuite être utilisé pour renvoyer presque toutes les informations privées à ceux qui espionnent, y compris les enregistrements, les captures d’écran, les mots de passe, mails et textes.
Cette entreprise technologique israélienne a des liens profond avec l’appareil militaire et d’espionnage du pays, qui utilise les Palestiniens sous occupation armée comme d’involontaires cobayes pour des systèmes qui sont maintenant mis en vente dans d’autres pays.
Pegasus du Groupe NSO, qui n’est vendu qu’à des gouvernements, a été abusivement utilisé contre des journalistes et des militants des droits de l’Homme dans des dizaines de pays. Parmi les utilisateurs suspectés, il y a le Maroc, le Mexique, les Emirats Arabes Unis, le Bahreïn et le Kazakhstan.
Pegasus a également été impliqué dans l’assassinat de Jamal Kashoggi, le journaliste saoudien attiré dans le consulat de son pays en 2018 à Istanbul et sauvagement assassiné.
Amnesty International, dont l’équipe a été ciblée grâce au logiciel malveillant du Groupe NSO, poursuit la société en justice pour faire stopper son rôle dans la surveillance abusive.
Facebook intente également un procès à NSO Group pour avoir compromis sa plate-forme de messagerie WhatsApp afin d’aider des gouvernements à espionner environ 1.400 personnes.
Aujourd’hui, les experts de la vie privée s’inquiètent du fait que NSO Group soit à la pointe d’un travail de surveillance du coronavirus sponsorisé par le gouvernement israélien qui pourrait être adopté dans d’autres pays.
Vice.com a fait des recherches sur la technologie de NSO Group.
Le site décrit le système fabriqué par NSO Group, semblable à celui développé par l’entreprise italienne Cy4Gate, comme « essentiellement un outil de surveillance de masse qui aiderait les gouvernements et les autorités de santé à garder la trace des mouvements de chaque citoyen et à rester en contact avec eux ».
Ce nouveau système, appelé Fleming, « permet aux analystes de dépister où vont les gens, qui ils rencontrent, combien de temps, et où ».
Les individus sont censés se voir attribuer un numéro d’identification secret pour protéger leur vie privée, mais une source de NSO Group a affirmé à Vice.com que le gouvernement peut enlever l’anonymat « lorsque nécessaire ».
Savez-vous qu’il existe un capteur domestique intelligent ? Il peut “détecter la vitesse de marche et la longueur de pas des gens, simplement en mesurant les interférences de leur corps avec les signaux radio”. (*)
Connaissez-vous AutoEmotive, un projet du M.I.T. (Massachusetts Institute of Technology) ? Il place des capteurs dans les automobiles pour analyser l’expression faciale du conducteur, son rythme cardiaque, son rythme respiratoire, les variations cardiaques, l’activité électrique de sa peau, sa température, la pression de sa main, et le contact de sa main sur une surface (le volant ou la poignée de la porte). Ces indicateurs sont utilisés pour mesurer le niveau de stress du conducteur. Et le système prendra des mesures pour calmer le conducteur, s’il en était besoin…
Et puis, pourquoi ne pas évoquer EQ Radio, un autre projet du M.I.T. ? Il utilise des signaux sans fil pour détecter les émotions des gens… avec une fiabilité de 87 % ! Certains évoquent la possibilité d’utiliser ces données pour contrôler les lumières chez vous, les adaptant à vos émotions. Bref, des ampoules qui lisent vos sentiments…
Nous sommes de plus en plus cernés… Et confinés, nous n’en sommes que plus vulnérables. Big Brother is always watching you.
(*) Installée à votre insu sur vos portables, une application pourrait transmettre ces informations et permettre aux autorités de connaître la durée de vos déplacements. Nous vous recommandons de ne pas télécharger l'attestation dérogatoire numérique sur vos téléphones, elle peut fort bien contenir ce genre "d'espion".
En pleine crise sanitaire, le gouvernement vient de lancer une pseudo Consultation publique - sans aucune communication, et volontairement incompréhensible du grand public... - pour faire passer discrètement une nouvelle mesure de restriction de circulation à un niveau encore jamais vu !
Il s'agit d'obliger les communes réfractaires à mettre en place une ZFE - zone à faibles émissions -, la nouvelle appellation "bien-pensante" que le gouvernement a trouvée pour ces zones de restriction drastique de circulation.
En clair, le but est tout simplement de bannir des villes une majeure partie des voitures. Et on ne parle pas ici de "poubelles" ultra-polluantes !
A Grenoble, où cette restriction est déjà en place, les utilitaires diesel datant d'avant 2010 ne seront par exemple plus autorisés à entrer dans la ville dans 2 ans, et d'ici 5 ans pour les voitures essence, ou pour un diesel même flambant neuf !
Pour l'instant, seuls des maires ouvertement anti-voitures avaient mis en place ces restrictions, comme à Paris, Grenoble ou Lille.
Mais avec ce décret, le gouvernement veut pouvoir imposer ces interdictions de circulation à l'ensemble des communes... y compris si elles ne sont pas polluées !
Il suffit qu'un axe routier passe à côté, ou qu'une commune de l'agglomération soit concernée... Autant dire qu'avec des conditions si vastes, ça permet de contraindre un maximum de réfractaires !
Si nous n'agissons pas maintenant pour nous opposer massivement à ce décret, demain, vous n'aurez peut-être plus le droit d'aller dans la ville d'à côté de chez vous !
Alors, s'il vous plaît, cliquez sur le lien ci-dessous pour aller sur la Consultation publique du gouvernement, et déposez votre message d'opposition massive à cette mesure inacceptable.
Deux minutes suffisent.
Il suffit de cliquer sur ce lien :
Puis, une fois sur la page, au bas du texte parfaitement abscons de la "consultation", cliquez sur le bouton vert "déposez votre commentaire".
Ensuite, écrivez directement dans le cadre qui s'affiche que vous refusez cette mesure anti-voiture, pour votre commune comme pour toute la France et publiez votre commentaire.
Libre à vous d'écrire votre propre commentaire, courtois mais ferme : ce qui importe, c'est de dire clairement que vous ne voulez pas de cette mesure insupportable !
Pendant que les pauvres cons finés avalent sans mâcher les scores du coronamachin, les affaires continuent de tourner pour les rois du monde : les USA ont débarqué début mars 30 000 soldats en Allemagne, Trump et les Emirats Arabes ont coupé le Yémen en deux et l’UE va commencer les négociations d’adhésion de l’Albanie et de la Macédoine (du nord)… Autrement dit, ça baigne.
Nos élites au même moment montent au créneau, se dressent comme un seul homme, bras dessus bras dessous, face à ce professeur hors norme qui voudrait nous soigner pour pas un rond… Les élites, de droite de gauche ou du centre, sont toujours unies quand il s’agit de protéger le tiroir-caisse.
Et l’Etat pendant ce temps-là poursuit ses opérations de destruction massive, bien plus redoutables qu’un virus : le chômage, la faillite et le désespoir de milliers de gens. Quand on fera les comptes, faudra pas les oublier ces morts-là… « On paiera » nous dit l’Etat. « Mon cul » répond Zazie. C’est nous qu’on paiera, les gars, et ça risque d’être salé !
On paiera comme ont toujours payé les pauvres gens, avec leurs pauvres sous, leurs pauvres tripes, leur pauvre sang… dans les tranchées de 14, dans les stalags de 40 et partout ailleurs où l’homme a pu faire souffrir ses semblables. Et Dieu sait qu’il excelle dans cette activité.
Mais aujourd’hui les méthodes ont évolué, du moins dans notre partie du monde. On n’a plus besoin de guerre ouverte pour torturer les hommes. On s’y emploie tous les jours depuis trente ans, ce confinement arrivant comme une sorte d’apothéose, de couronnement.
Ils ont commencé par nous empêcher de fumer et de boire au début des années 90, années de toutes les répressions. Ils ont interdit les cigarettes dans les lieux publics. Ils ont instauré le permis à points, en se servant de la prévention routière comme nouvel asservissement. Ils ont multiplié les radars et les contrôles, en nous traitant d’assassins de la route pendant que l’Etat empoche l’argent du crime. Ils ont imposé les pots catalytiques, les contrôles techniques draconiens, les taxes carbone, les taxes déchets, à cause de la planète qu’on pollue avec nos vieux moteurs 4 chevaux et du climat qu’on réchauffe avec nos haleines de pauvres. Enfin ils ont décoré les paquets de clopes avec des photos de viscères pour mieux nous humilier pendant que l’Etat encaisse l’argent du cancer.
Aujourd’hui on nous enferme dehors une heure par jour et une fois au bercail, on nous envoie sur les écrans des pubs remplies de soleil et de plages, des journalistes qui jouent les globe-trotters et des voitures haut de gamme qui cavalent sur la grande Corniche. C’est la dernière vexation que les nantis nous adressent en ricanant. Manière de nous dire : « Alors les gilets jaunes, on se marre bien chez vous ? »
Excédé, on sort prendre l’air. Et dans l’espace enfin livré au silence, on finit toujours par entendre un con qui allume la radio.
De mars à mai 2020 en Europe des manœuvres militaires de l’OTAN sont prévues, de l’Arctique jusqu’à la mer Noire, le long des frontières de la Russie et de la CEI. Elles se tiendront dans les pays de la moitié nord de l’Europe, théoriquement elles épargneront le territoire français même si des soldats français doivent y participer. Nommées globalement « Defender Europe 20 » et « Aurora 20 », elles comportent des exercices spécifiques. L’objectif, en fait, est de vérifier la capacité de l’armée étatsunienne de traverser l’Atlantique pour se positionner avec des troupes européennes aux frontières russes. En parallèle nous avons appris qu’une simulation de guerre nucléaire contre la Russie en Europe avait eu lieu au Pentagone (source Pentagone !)
Les premières troupes US ont commencé à débarquer en Allemagne, en Belgique et aux Pays-Bas.
Cela illustre la totale contradiction entre les déclarations de D. Trump interdisant l’entrée aux USA de voyageurs venus de nombreux pays européens, dont la France, et les risques de propagation irresponsables pris avec le déploiement massif, plus de 30 000 militaires (dont plus de 20 000 US), en Europe. Une partie des manœuvres « Aurora 20 » en Suède, en Norvège et en Finlande qui avaient démarré plus tôt et dans laquelle des troupes françaises étaient engagées aux côtés d’autres pays (14 000 militaires) ont été interrompues le 11 mars pour cause de coronavirus, mais elles reprendront du 11 mai au 7 juin. Malgré la pandémie, le programme continue avec seulement des adaptations mineures. Cette diffusion virale s’ajoute à la pollution militaire sous toutes ses formes que nous condamnons.