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19 avril 2014 6 19 /04 /avril /2014 10:01

 

Après les mauvaises nouvelles envoyées par la dictature socialiste et Valls qui va ficher les vrais et donc dangereux ( sic) écolos et les défenseurs des animaux, il arrive quand même simultanément 3 bonnes nouvelles:
- 1) la CIJ ( cours internationale de justice de La Haye) a reconnu le caractère commercial de la chasse à la baleine et interdit aux Japs leurs tueries " scientifiques"; ceci confirme que Paul Watson (Sea Shepherd) a raison depuis plus de 12 ans alors qu'il a été critiqué, pourchassé et condamné par plusieurs pays motivés par leurs seuls intérêts vénaux.
-2) Le Parlement Français interdit le MON 810 (maïs OGM) à l'exception des parlementaires UMP -raz du front- qui ont quitté l'hémicycle.
-3) Ce même parlement, contre l'avis de F.Hollande reconnait le caractère sensible de l'animal ( lire ci-dessous l'extrait du site le Colibris; http://colibris.ning.com/ ).
La CVN et son Président Gérard Charollois réclament un nouveau statut juridique de l'animal ( notamment sauvage) depuis des années; nos combats commencent à porter leurs fruits !
Continuons la lutte, car la victoire est au bout du fusil ! Heu... je me laisse emporter; je voulais dire au bout de la fleur, of course !

 

Hollande s’y était opposé, mais ce mardi la Commission des lois de l’Assemblée nationale a reconnu aux animaux le statut « d’êtres vivants doués de sensibilité » en lieu et place de « biens meubles ».

Ce changement de statut sera soumis au vote de l’ensemble de l’Assemblée Nationale mardi soir et mercredi. Actuellement, le code civil ne reconnait pas les animaux comme des êtres sensibles contrairement au code rural et au code pénal qui les reconnaissent comme « des êtres vivants et sensibles ».

Selon Jean Glavany, député PS des Hautes-Pyrénées, l’amendement doit permettre de :

 … concilier la qualification juridique et la valeur affective [de l'animal]. Pour parvenir à un régime juridique de l’animal cohérent, dans un souci d’harmonisation de nos différents codes et de modernisation du droit, l’amendement donne une définition juridique de l’animal, être vivant et doué de sensibilité, et soumet expressément les animaux au régime juridique des biens corporels en mettant l’accent sur les lois spéciales qui les protègent.


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