Aux USA, le docteur Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (une des 27 agences du ministère de la Santé), est l’homme qui est parvenu à s’imposer outre-Atlantique comme le gestionnaire en chef de la prétendue pandémie.
Toutefois, ce suppôt de Biden n’a pas su empêcher que des petits curieux mettent leur nez dans ses affaires. Et ces fouineurs sont tombés sur 3 000 pages de courriels révélant son rôle d’avocat du parti communiste chinois et l’avalanche de mensonges qui en est résultée.
Les sénateurs Marsha Blackburn et Marco Rubio ainsi que le député Kevin Mc Carthy accusent désormais Fauci d’être à l’origine du rejet ferme et définitif de toute enquête sur le fameux laboratoire chinois de Wuhan. Ils lui reprochent en outre d’avoir grossièrement surestimé le taux de létalité du Covid-19, d’avoir étouffé toute information sur les remèdes efficaces – qui auraient pu sauver 85 % des victimes – et d’avoir condamné le gouverneur de Floride, premier État à s’être libéré des contraintes sanitaires.
Pourquoi Fauci a‑t-il déployé ces efforts démesurés pour innocenter la Chine ? Tout simplement parce que « l’Etat profond » sait que la Chine est incontournable, voire indispensable, dans la logique du Nouvel Ordre mondial. Fauci a donc bataillé ferme – et continue à le faire – pour sortir l’Empire du Milieu d’un très mauvais pas. Selon Sir Richard Dearlove, ex-chef des services de renseignements britanniques, les preuves irréfutables qui mettraient la Chine au ban des nations ont été détruites. En innocentant la Chine, Fauci se prémunit aussi d’accusations de complicité dans le financement du laboratoire de Wuhan par les contribuables américains car, si ce dernier s’avérait être la cause de la mort de plusieurs centaines de milliers de concitoyens, ce serait aux yeux des Yankees absolument impardonnable.
Pour l’instant, Fauci bénéficie du soutien de son président Joe Biden. Mais pour combien de temps encore ? L’étau se referme sur lui. Cet agent du globalisme, maître des manœuvres, des mots à double sens, des annonces à tiroirs, des déclarations sourdes, affirmant tout et son contraire avec aplomb, est désormais dans le collimateur des Républicains qui exigent des explications, une audition devant le Congrès et sa démission. D’autant que le scepticisme à son égard a gagné les rangs démocrates. Affaire à suivre de très près, donc.
Ceux qui s’imaginent que cette affaire américaine ne nous concerne guère, ou de très loin, font gravement erreur. Cette affaire remet en cause la gestion de la crise sanitaire par l’Europe, et la France en particulier, résultant d’une attitude a minima suiviste, au pire complice, dont les dégâts dans tous les domaines, surtout économiques et psychologiques sont considérables. Les stratèges internationaux du globalisme sont à la manœuvre avec les bonnes méthodes d’intoxication destinées à perturber les esprits pour mieux les soumettre. Les Français devraient se méfier au lieu de se bousculer dans les vaccinodromes.
Aux USA, le docteur Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (une des 27 agences du ministère de la Santé), est l’homme qui est parvenu à s’imposer outre-Atlantique comme le gestionnaire en chef de la prétendue pandémie.
Toutefois, ce suppôt de Biden n’a pas su empêcher que des petits curieux mettent leur nez dans ses affaires. Et ces fouineurs sont tombés sur 3 000 pages de courriels révélant son rôle d’avocat du parti communiste chinois et l’avalanche de mensonges qui en est résultée. Les sénateurs Marsha Blackburn et Marco Rubio ainsi que le député Kevin Mc Carthy accusent désormais à Fauci d’être à l’origine du rejet ferme et définitif de toute enquête sur le fameux laboratoire chinois de Wuhan. Ils lui reprochent en outre d’avoir grossièrement surestimé le taux de létalité du Covid-19, d’avoir étouffé toute information sur les remèdes efficaces – qui auraient pu sauver 85 % des victimes – et d’avoir condamné le gouverneur de Floride, premier État à s’être libéré des contraintes sanitaires.
Pourquoi Fauci a‑t-il déployé ces efforts démesurés pour innocenter la Chine ? Tout simplement parce que le « Deep State » sait que la Chine est incontournable, voire indispensable, dans la logique du Nouvel Ordre mondial. Fauci a donc bataillé ferme – et continue à le faire – pour sortir l’Empire du Milieu d’un très mauvais pas. Selon Sir Richard Dearlove, ex-chef des services de renseignements britanniques, les preuves irréfutables qui mettraient la Chine au banc des nations ont été détruites dans les jours qui ont suivi la machination. En innocentant la Chine, Fauci se prémunit aussi d’accusations de complicité dans le financement du laboratoire de Wuhan par les contribuables américains car, si ce dernier s’avérait être la cause de la mort de plusieurs centaines de milliers de concitoyens, ce serait, aux yeux des Yankees, absolument impardonnable.
Pour l’instant, Fauci bénéficie du soutien de son président Joe Biden. Mais pour combien de temps encore ? L’étau se referme sur lui. Cet agent du bolcho-globalisme, maître des manœuvres, des mots à double sens, des annonces à tiroirs, des déclarations « fadées », affirmant tout et son contraire avec aplomb, est désormais dans le collimateur des Républicains qui exigent des explications, une audition devant le Congrès et sa démission. D’autant que le scepticisme à son égard a gagné les rangs démocrates. Affaire à suivre de très près, donc.
Ceux qui s’imaginent que cette affaire américaine ne nous concerne guère, ou de très loin, font gravement erreur. Cette affaire remet en cause la gestion de la crise sanitaire par l’Europe, et la France en particulier, résultant d’une attitude, a minima suiviste, au pire complice, dont les dégâts dans tous les domaines, mais surtout économiques et psychologiques, sont considérables. Les stratèges internationaux du bolcho-globalisme sont à la manœuvre avec les vieilles méthodes d’intoxication destinées à perturber les esprits pour mieux les soumettre. Les Français devraient se méfier au lieu de se bousculer dans les vaccinodrômes.