... Le président russe a mis en demeure, hier, jeudi 10 avril les Européens d’assurer le paiement des milliards de dette de l’Ukraine faute de quoi leur approvisionnement en gaz serait menacé, un développement qui relance la pire crise Est-Ouest depuis la fin de la guerre froide. Forte de son récent accord avec la Chine sur le gaz, la Russie a plus à gagner qu’à perdre que l’Occident. Il faut assumer ses choix. Silencieux face à toutes les envolées lyriques d’un Obama survolté, de ses sous-fifres qui en rajoutaient une couche, de ces prêcheurs de haine qui discouraient à Maïdan, l’heure de prendre ses responsabilités est arrivée. Plus de bla bla.
Mais, perdu dans sa toute puissance, se croyant invincible, Barack Obama, encore lui, a rétorqué qu’une escalade de la situation en Ukraine conduirait à de nouvelles sanctions américaines et européennes contre Moscou. Que du vent, pour faire croire qu’il est puissant. Or, sur le terrain ukrainien, les choses se compliquent sérieusement pour les usurpateurs. Certains journalistes pro-Occidentaux croient même que ce régime monté de toutes pièces, ne résistera pas face à la montée exponentielle des pro-russes dans l’est du pays…