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9 mai 2015 6 09 /05 /mai /2015 09:25

L’indignation à géométrie variable de certains journalistes est tout à fait remarquable. Paulo A. Paranagua, journaliste au quotidien Le Monde, est l'un de ceux-ci. D'origine brésilienne, il aurait été emprisonné en Argentine en 1975 et libéré en 1977 pour avoir fait partie d'un mouvement d'extrême gauche péroniste.Si cela s’avère exact, il semble avoir radicalement tourné la page tout comme son homologue vénézuélien Théodore Petkoff, ancien guérillero devenu libéral et aujourd'hui à la tête du journal d'opposition Tal Cual.

Paulo Paranagua, qui écrit régulièrement dans Le Monde, est la parfaite caricature du journalisme dominant en croisade permanente contre le progressisme latino-américain et tout particulièrement contre la Révolution Bolivarienne au Venezuela.

C’est son droit le plus strict de critiquer des pays et des processus qui lui déplaisent mais quand même. Force est de constater que cet acharnement médiatique contre des pays qui ont choisi avec plus ou moins de radicalité de se libérer de la tutelle des États-Unis et d’entamer de profondes transformations sociales devient obsessionnel. Le Venezuela, à l’avant-garde de cette résurrection d’une partie du continent sud-américain, en fait les frais très régulièrement.

Le travail de ce supposé journaliste consiste à diffuser un flot ininterrompu de mensonges, d’approximations, d’erreurs en tous genres ainsi que des « analyses » bricolées sur un coin de table.

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