L’élection présidentielle n’est pas arrivée à son terme que l’on peut annoncer, comme cela était prévu, qu’il n’y avait rien à attendre de son issue pour tout ce qui touche à l’attitude future des élus et à leur indispensable devoir d’exemplarité. Carences qui pourtant sont les raisons du manque grandissant de confiance dans la classe politique et du fossé existant avec les citoyens.
Le changement souhaité n’aura pas lieu.
La preuve en est que l’on s’affaire déjà, sans aucune décence, dans les arrières cuisines peu ragoûtantes des partis aux marchandages pour trouver des accords entre bons amis. Cela pour accéder à « l’ascenseur social grande vitesse » grâce à l’obtention ou la conservation d’un mandat de député.
La nouvelle gouvernance que chacun souhaite ne sera surtout pas acquise grâce à la volonté des politiques. Ces derniers ne veulent aucune réforme qui puisse remettre en cause leur propre statut, leurs agissements irresponsables, leurs intérêts et privilèges.
Le changement attendu par les citoyens ne peut être que le résultat de leur propre volonté.
Pour reconquérir de manière démocratique… la Démocratie qui leur a été confisquée, il faut un changement radical…