Statistiques à l'appui, la vitesse est considérée comme le principal facteur d'accident et les gouvernements lui font une chasse sans merci. Le témoignage d'un gendarme remet sérieusement en cause ces statistiques, clé de voûte de la politique du tout-radar. Une victoire de plus dans la bataille contre le dogme anti-vitesse au nom duquel on taxe tous les ans les conducteurs de 1,7 milliard d'euros !
La Ligue de Défense des Conducteurs avait déjà prouvé, avec son étude mathématique publiée en 2013, qu'il n'existait pas de lien scientifique entre vitesse et mortalité sur la route. Dernièrement, une révélation est venue confirmer ce que nous affirmons depuis plus années déjà, grâce au témoignage envoyé par l'un de nos membres, ancien gendarme, qui a osé briser le tabou du dogme anti-vitesse. « A chaque accident on remplissait un bulletin d'analyse d'accident corporel (BAAC) », raconte-t-il. « Lorsque nous n'arrivions pas à déterminer la cause exacte de l'accident, il nous était demandé de cocher la case "vitesse excessive". Pas étonnant que la vitesse soit accusée d'être l'une des causes principales d'accident ! »