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21 janvier 2012 6 21 /01 /janvier /2012 09:44

Le livre de Patricia Darré (« Un souffle vers l’éternité » Ed Michel Lafon) suscite de nombreux commentaires, tous défavorables, au nom de l’image du Berrichon mal évolué. Pour avoir régulièrement, dans « Le Provisoire », ironisé sur cette image du Berrichon présenté comme un sorcier, je me sens autorisé à en dire quelques gros mots. De Jean-Louis Boncoeur à « l’Oeil du sorcier », le Berry passe pour une terre d’attardés, ridicules, benêts. Il est habité par des sous hommes et représenté, dans toutes les instances politiques, par d’autres  sous hommes, qui marchent encore à quatre pattes. Cette dernière remarque est exacte, concernant les élus en majorité. Ils ne marchent pas à quatre pattes, ils rampent !
 Mais outre le fait que Patricia Darré ne parle pas des sorciers, mais nous assure qu’elle entretient des conversations avec les morts, la question est différente. En effet, beaucoup d’auteurs ont parlé avec des fantômes, à commencer par Victor Hugo après la mort tragique de Léopoldine, puis il y a eu Gérard de Nerval et Guy de Maupassant. On a médicalisé le cas des deux derniers en les enfermant. Pratique barbare. N’enfermez pas Patricia Darré, sinon, enfermez tous ceux qui croient encore en Dieu. Enfermez Bernanos, Dante, Saint Augustin, Blaise Pascal.
 Enfermez Philippe Murray et Samuel Beckett.
 Et ici le problème devient politique. Enfermez d’abord les faiseurs de miracles, les Sarkozy, les Fillon, les Frédéric Mitterrand, les patrons qui foutent à la rue leurs employés. Enfermez les responsables de l’incroyable situation sociale dans laquelle nous nous trouvons. Enfermez tous les berrichons consensuels, et même les pas sensuels du tout !
 Si vous estimez que la prison est une pratique barbare, pendez-les, ce sont eux, les vrais voyous. Jean Ziegler,  ex-responsable de la commission alimentation à l’ONU les qualifie de « gangsters, de voyous, de criminels ». Il a raison, ce sont eux, les terroristes, qui font la guerre aux pauvres. Ce n’est pas Patricia Darré. Au rythme d’un pendu par semaine, la race des enculeurs va vite dépérir. Faites comme les paysans qui effrayaient les corbeaux en en pendant un au milieu du champ ! Pour faire peur aux autres ! Pendez Sarkozy dans une usine vide ! Mais attention, pendaison équivaut à bandaison ! On ne sait jamais !
Evitons une ultime éjaculation de petits Sarkozys !
N’allez pas contaminer toute la planète !
 louise-michelComme dans le film « Louise Michel », éliminez les patrons. Pendez en même temps les pseudos journalistes à leurs ordres. « On achève bien les chevaux ! » C’était la pratique habituelle dans la Résistance ! Résistons, refusons d’obéir !
Car cette vie quotidienne purement matérialiste, où l’on n’a pas le droit de penser, où l’on est aliénés comme jamais, transformés en objets, en automates téléguidés, en produits jetables, dans les hypermarchés, cette vie est la pire des mutilations !
 Quant à la sorcellerie, n’oubliez pas qu’elle est le fond de notre culture, et qu’on attribue ce pouvoir à des femmes. On a toujours brûlé les sorcières, on leur a fait la chasse.
 La dernière en date s’appelait Jeanne d’Arc. Et tout le monde s’en réclame aujourd’hui ! Mme Alliot-Marie et Valérie Pécresse sont des sorcières, comme la Morano, la Carla Bruni, la vieille Bettencourt. Elle est sèche à point, ça peut servir pour allumer le feu.
Je propose une exception : Qu’on expose au pilori, Madame Christine Boutin, la Sainte Chèvre de Levroux, après l’avoir recouverte, par mesure de prudence, d’un soutien pis Lejaby !
Même si son dernier ouvrage ne s’est vendu qu’à 58 exemplaires, montrons-la du doigt ! Et qu’on ne parle plus que de politique dans toutes les publications ! De politique et de révolution !
Q’on redevienne populiste, pour parler du peuple, et non pas people, pour parler du cul des bêtes !
Tous les lecteurs de ce blog ne sont pas zoophiles !
Et attention, ces bêtes-là entendent des voix, des voix électorales ! Et c’est bien pire que Patricia, car les morts ne votent pas, sauf en Corse et à Paris intra-muros. Et quelquefois ailleurs.
 La prochaine fois je parle de « l’opium du peuple » et de la « Question juive » de Karl Marx.
Pour assainir la situation !

 

(Attention, l’article qui doit paraître dans l’Echo-La Marseillaise, Indre, est plus court. Il ne s’agit nullement d’une censure !)

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commentaires

O
Et j'ai gardé le meilleur pour la fin. Cher Rolland Hénault, ce jourd'hui, tu es mon dessert. Je ne vais pas me risquer à te paraphraser mais j'ai comme l'impression que mon inspiration et mes<br /> aspirations ne sont pas bien différentes des tiennes. Moi aussi, je suis pour l'éliminiation de tous les emmerdeurs et des empêcheurs de goûter à la douceur des choses et au bonheur de vivre piano<br /> i sano. De plus la méthode d'élimination que tu proposes me convient. Salut à toi, vieux et cher frangin d'idées. OLE
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