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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 09:45

100610boutinToutes ces charognes qui viennent nous humilier à la télévision après nous avoir piqué notre boulot notre pognon, il y a une façon très simple de s’en débarrasser. (Bien entendu on peut les zigouiller après, en faire du pâté de cochon, qu’on vendra au supermarché, rayon charcutailles par exemple, avec une souris en prime dans les haricots verts).

Mais d’abord je me demande pourquoi, dans un premier temps, qui précède forcément le second, on n’engage pas une vraie conversation. Exemples :

-Ton costard, où tu l’as payé, salopard ? Ca te fait une sacré gueule d’enfoiré, mais c’est pas là que je veux en venir…ton costard, tu l’as payé combien et où tu l’as pris ?

- Et toi grosse vache à lait, oui, toi, la Boutin, où tu les a pris tes sacs à mamelles ? Chez Lejapis...C’est sûrement pas dans un élevage industriel, à Levroux, (36) où paraît-il, t’as passé ta belle jeunesse, que t’as pu ramasser les sous pour t’acheter ça ?...

T’es pleine de bons sentiments qu’ils disent…oui, t’es pleine de tripailles avec du gras en quantité, et puis un bon kilo d’hosties pour la bonne conscience…ça doit t’en prendre, du temps, pour laver tout ça ?...ah tu dois en acheter des « produits phytosanitaires », comme ils disent aujourd’hui ?...

Restent tous les habitués, les soi-disant révoltés, les pseudo trouble fêtes. C’est les plus dangereux ! Mieux vaut les archi cons, on les dépiste tout de suite. Les abrutis de naissance et déjà passés au décervelage.

Je parle sérieux. Autrefois, au début des années 70, il existait une émission de télé, « La mâle parole ». L’auteur en était Jean-Pierre Chabrol. On voyait notamment des clients qui revenaient chez leur boucher et qui se livraient à des propos très désobligeants vis-à-vis du lascar qui les avait proprement enculés.

Par exemple :

- Je voudrais deux steaks…et pas des saloperies, comme celles que tu m’as refilées la dernière fois !...imbouffables, ils étaient !...Tu m’entends, Duconnard ?

Le gars rentrait la tête dans les épaules, il s’y fiait pas. Le mauvais client aurait pu sortir une pioche de la poche de sa veste !

Ou une clé à molette, en ce temps-là, les prolétaires ne s’endormaient pas devant les écrans.

Je reviens quand même sur la Boutin ! C’est vraiment un cas intéressant.

D’abord elle a lancé à Sarkozy : « Si j’ai pas les 500 signatures, je vais à Saint Jacques de Compostelle ! » Mais Saint Jacques de Compostelle, c’est pas loin si on part de Bayonne. Pas de quoi trouver les 500 signatures. En plus c’est des Espingouins et des Espingouines, ça compte pas. Alors la Boutin, elle a bien regardé son Lejapis et elle s’est dit : ça va être lourd à porter si je pars de l’Elysée ! …alors elle a réfléchi et elle a trouvé plus efficace.

« Une bombe ! c’est ça ! il faut lui balancer une bombe au petit nourrisson mal foutu ». Eh puis elle s’est reprise : « Une bombe sexuelle ! »

Elle a regardé l’émission d’Alessandra Sublet, qui recevait justement Carla Bruni. Elle a pris des photos et elle a essayé d’imiter. Par moments, elle avait des doutes :

-Est-ce que j’arriverai à être aussi moche que cette Carla-Bruni-Sarkozy ?

Elle est retournée à Levroux (36) elle a regardé les chèvres, elle a bien observé. « Les chèvres, on leur zy voit les côtes ».

Elle a ajouté : « Comment je serai sûre qu’on me prendra pour une catholique romaine ?... Il paraît qu’il y a des chèvres juives, musulmanes, athées même, dans les pacages les plus évolués !

Je suis allé la voir, en pleine mutation esthétique : elle m’a bien reçu, avec son bouc, elle sentait fort, elle était en odeur de sainteté. J’ai pas fait de remarques, bien que ce soit désobligeant pour les chèvres !

Je lui ai balancé un coup de pelle sur le cul, à tout hasard et j’ai dit : « Vas-y Titine, t’est la meilleure. Elle a pris ses sabots galoches, ses bas résilles de chez Gaultier. Modèle spéciale « Biquette ». et puis elle s’est ralliée à Sarkozy !

Comme vont le faire des millions d’abrutis, sûrement.

Mais au moins je lui aurai causé du pays. Comme Siné dans Siné-Mensuel : « Casse-toi, Triple Conne ».

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commentaires

O
Sûr qu'il y aurait du pâté de cochon à faire (pauvre porc, à qui es-tu comparé !) avec tous ces politicards souvent arrogants et se foutant de nous comme de leur première chemise. Et l'actuelle<br /> chemise qu'ils portent doit empester le gras et la sueur des trop bien nourris qui ne se crèvent pas beaucoup, vu qu'ils roupillent à la Chambre comme au Sénat. Et encore lorsqu'ils y viennent pour<br /> autre chose que pour pointer. Pointer comme les ouvriers le font à l'usine mais pas du tout pour le même salaire. Seulement, ce pâté de cochon doit être passablement dégueu et je préfèrerai le<br /> fourguer à mon chien plutôt que d'y goûter. Quant à la dame boudin ou plutôt Boutin - Désolée pour le lapsus dû à la suite que j'ai dans les idées - elle devrait savoir que le peu de voix qu'elle<br /> peut amener à Sarko ça ne vaut pas tripette. Encore un mot connoté charcutaille. La suite dans les idées, vous dis-je. Et chapeau bas, Rolland Hénault. OLE
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