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21 mai 2016 6 21 /05 /mai /2016 11:35
Pour ceux qui méprisent Gérard Depardieu : ce sont des gros cons

Eh bien ils ont l'air d'une bande de cons, ou d'une bande de connasses, ceux qui refusent de lire Gérard Depardieu...

Si vous aviez un minimum de culture, vous sauriez que Gérard Depardieu n'écrit pas n'importe quoi, pas comme vous!

Deux exemples suffiront pour vous convaincre, si vous n'êtes pas irrécupérable. Le premier concerne le "monstre sacré". Un peu de culture ça peut pas faire de mal. Quand Depardieu écrit, dans les lettres volées, une lettre à la Lilette, il ne se trompe pas sur les mots: "Maman, j'ai toujours trouvé que tu ressemblais à une vache... Oui ma Lilette tu ressembles à une vache. Te vexe pas c'est très bien une vache. C'est le lait la viande, le sang...c'est l'inertie chaude et rassurante..." Il sait que la vache, sous la forme "Io", a été l'objet d'une métamorphose, comme c'était courant dans l'Antiquité grecque. Ecoutez, si vous refusez de vous instruire, je ne peux rien pour vous. Donc, Zeus, qui était le maître suprême à l'époque de la naissance du monde, avait transformé sa protégée en vache, en génisse. Qui peut encore faire comme Zeus? En 2016?

Mais ce n'est pas tout. Gérard Depardieu vous en bouche un coin. Si vous appreniez la liste des mutations génétiques dans le monde antique. Profitons en pour régler une autre question, soulevée dans "Ca s'est fait comme ça". C'est à propos de la mer. Depardieu devine qu'il existe un lien entre la mer et la mère. Je cite page 33, de "Ca s'est fait comme ça": "J'ai pensé qu'on venait tous de là...Je ne sais pas combien de temps j'ai cru cela, cette merveille, que nous étions tous nés de la mer..." Or les psychanalystes acceptent un raisonnement identique. Et les poètes, donc, et pas seulement Baudelaire, mais Rimbaud, Lautréamont... Dans "les Fleurs du Mal" le lexique est identique: "Homme libre toujours tu chériras la mer..." et plus loin: "tu l'embrasses des yeux et des bras..." C'est a la portée des enfants, mais vous n'êtes pas cultivés, j'oubliais...Il n'est jamais trop tard pour vous instruire. Mais moi je renonce : vous êtes trop cons!

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