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22 juillet 2016 5 22 /07 /juillet /2016 10:28

Ce n'était plus qu'une formalité. Ce jeudi 21 juillet, l'Assemblée nationale a adopté définitivement le projet de loi Travail.

Après un conflit social particulièrement dur et long contre une réforme rejetée massivement dans l'opinion et qui a achevé de fracturer la gauche, Manuel Valls et François Hollande avaient tout de même décidé de passer une nouvelle fois en force, en recourant à l'article 49 alinéa 3 de la Constitution. Dispositif qui permet à l'exécutif de faire passer une loi sans vote ni débat. Sans motion de censure déposée - la droite s'étant abstenue, la gauche ayant échoué à rassembler suffisamment de signatures -, le suspense était somme toute relatif.

Ne reste plus qu'une ultime cartouche aux opposants de droite comme de gauche pour espérer bloquer la loi Travail ou, au moins, retarder d'un mois encore sa promulgation : la saisine du Conseil constitutionnel, comme pour la loi Macron. Il leur faudra, pour saisir les sages de la rue Montpensier, rassembler les signatures de 60 parlementaires. En cas de saisine, l'instance chapeautée par Laurent Fabius pourra soit censurer l'ensemble de la loi, soit certaines de ses dispositions. La décision devrait tomber sous un mois, temps dont lequel les opposants profiteront sûrement pour remobiliser les troupes.

Politiquement, quels bénéfices pour l'exécutif ? Malgré les appels venant de sa propre majorité, Manuel Valls n'a pas beaucoup évolué sur le projet initial. Sur l'article 2 tant décrié gravant dans le marbre l'inversion de la hiérarchie des normes, le Premier ministre a même montré une obstination sans faille à ne pas bouger d'un pouce. Malgré les différentes portes de sorties qui lui ont été pourtant offertes pour apaiser, à défaut de remporter un large consensus, sa majorité.

Olivier Faure, député socialiste proche de François Hollande, avait ainsi déposé un amendement pour faire évoluer le problématique article 2 pour "assurer qu'un accord d'entreprise ne puisse pas fixer une rémunération des heures supplémentaires inférieure à 25% de majoration pour les huit premières heures supplémentaires et à 50% pour les suivantes". Le parlementaire avait recueilli l'appui de 121 de ses collègues socialistes sur 291, dont les deux anciens ministres Kader Arif et Marie-Arlette Carlotti. Les frondeurs avaient même sauté sur l'occasion expliquant que si l'amendement était voté, ils enterreraient la hache de guerre.

Cela ne fit ni chaud, ni froid à Manuel Valls, bien décidé à brutaliser jusqu'au bout sa "majorité relative", dans une sorte de "qui n'est pas avec moi, est contre moi". Enfermés dans leur posture, le président de la République et son Premier ministre, qui se voulaient les hérauts d'un courant social-démocrate modernisé, n'auront montré qu'une conception très réduite du dialogue social et démocratique. Jean-Pierre Chevénement considérait qu'un "ministre, ça ferme sa gueule ou sa démissionne". Manuel Valls et François Hollande ont décidé, d'un commun accord en recourant au 49-3, d'étendre cette maxime à leur majorité.

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22 juillet 2016 5 22 /07 /juillet /2016 10:21

Comme le réclamait une partie de la droite, les députés ont porté dans la nuit de mardi à mercredi la prolongation de l'état d'urgence à six mois, jusqu'à fin janvier 2017, ce à quoi le président François Hollande s'était dit ouvert.

Le gouvernement avait prévu à l'origine cette prolongation, présentée comme une "réponse puissante" au terrorisme par le Premier ministre Manuel Valls, pour une durée de trois mois. Celui-ci a averti que la France devait s'attendre à d'"autres attentats" et d'"autres innocents tués", dans une allocution mardi soir devant les députés.

Ce débat (comme celui qui doit se dérouler mercredi devant les sénateurs) était électrique, tant l'opposition de droite ne cesse depuis le carnage du 14 juillet à Nice de critiquer l'exécutif socialiste. Elle a réclamé lundi soir une commission d'enquête parlementaire sur la tragédie niçoise.

Le parti Les Républicains de l'ex-président Nicolas Sarkozy était favorable à la prolongation de l'état d'urgence mais avait posé ses conditions: au moins six mois de plus et un durcissement des mesures coercitives prévues dans ce cadre.

Le projet de loi prévoit de rétablir la possibilité de perquisitions administratives à toute heure du jour ou de la nuit sans l'aval d'un juge, ainsi que celle d'exploiter les données des ordinateurs et téléphones saisis.

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22 juillet 2016 5 22 /07 /juillet /2016 10:18

Des violences ont éclaté dans une banlieue au nord de Paris pour la deuxième nuit consécutive, donnant lieu à huit interpellations, après la mort d'un jeune homme peu après son arrestation, a-t-on appris jeudi auprès des autorités.

"Huit individus ont été interpellés. Certains pour jets d'objet incendiaires sur les forces de l'ordre, d'autres qui tentaient d'incendier un bâtiment public", la mairie de Beaumont-sur-Oise, a indiqué à l'AFP un responsable de la préfecture, Jean-Simon Mérandat.

Ces violences font suite à la mort d'un jeune homme de 24 ans, lors de son interpellation par les gendarmes mardi après-midi. Suspecté dans une affaire d'extorsion de fonds, cet homme a fait "un malaise" et est décédé à Persan, a déclaré à l'AFP le procureur chargé de l'affaire, Yves Jannier. La "situation est tendue mais maîtrisée compte tenu du dispositif robuste mis en place", a ajouté M. Mérandat.

Quelque 180 membres des forces de l'ordre étaient mobilisés depuis mercredi soir, après un premier épisode de violences dans la nuit de mardi à mercredi.

Cinq gendarmes avaient été légèrement blessés au "cours d'affrontements", selon une source proche des autorités, et les forces de l'ordre avaient essuyé des "tirs d'armes à plomb".

Neuf véhicules, dont deux de la police municipale, avaient été incendiés, selon la porte-parole de la gendarmerie nationale, Karine Lejeune, et quatre bâtiments publics dégradés. Une personne avait été interpellée.

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22 juillet 2016 5 22 /07 /juillet /2016 10:14

En ce mois de juillet particulièrement chaud, la piscine à vagues de Créteil a été ouverte au public, avec 1800 places. Mais ce mardi 19 juillet, dès l’ouverture, de nombreux incidents ont eu lieu, provoqués par l’incivisme de « centaines de jeunes » qui ont littéralement pris d’assaut la piscine, notamment en grimpant par-dessus les grilles, ainsi qu’en bousculant les nombreuses familles qui formaient une queue de 100 mètres de long devant l’entrée.

A 14h00, 20 policiers sont intervenus une première fois, afin de calmer la situation, devenue incontrôlable.

Piscine bondée, bousculades, bruit, situation insoutenable…C’est à ce moment que trois coups de feu ont retenti : il s’agissait de « jeune »s utilisant un pistolet à blanc. La police est alors revenue une seconde fois et a interpellé quatre personnes.

Cette intervention ne poussant pas vraiment le reste des « jeunes » présents à se calmer, ces derniers ont continué à semer le trouble, tout en chantant au milieu de la piscine « Venez nous chercher ! Venez nous chercher ! » ou encore « On s’en bat les c… ! On s’en bat les c… ».

La piscine municipale, nouvelle zone à risques ?

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16 juillet 2016 6 16 /07 /juillet /2016 10:13

Ah fromage voilà de la bonne madame
Voilà de la bonne madame au lait
Elle est du bon lait du pays qui l'a fait
Celui qui l'a fait était de son village

Ah village voilà de la bonne madame
Voilà la bonne madame fromage
Elle est du pays du bon lait qui l'a fait
Celui qui l'a fait était de sa madame

Ah fromage voilà du bon pays
Voilà du bon pays au lait
Il est du bon lait qui l'a fait du fromage
Le bon lait qui l'a fait était de sa madame.

Benjamin Péret

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16 juillet 2016 6 16 /07 /juillet /2016 10:07

Comme la mort de tout être humain, le décès de Michel Rocard nous rappelle tristement à notre condition finie ; et bien entendu, sa mort ne peut qu’affliger ses proches.

Mais osons dire que sur un plan strictement politique, sa mort ne saurait dédouaner de son bilan politique cet homme issu comme Blum de la haute bourgeoisie d’Etat qui n’a cessé de combattre le socialisme et le communisme tout en servant sans états d’âme la mortifère « construction » euro-atlantique.

Il est vrai qu’au début des années 70, il n’y avait pas plus « révolutionnaire » – en paroles ! – que celui qui dirigeait alors le PSU. Comme il était alors de bon ton, les dirigeants du PSU et de la CFDT feignaient de prendre « de gauche » le PCF et la CGT, voire d’appeler le prolétariat à "la guerre civile"… Mais bien entendu, c’était un jeu : il s’agissait de minorer le rôle du PCF dans l’union de la gauche en formation tout en « relativisant » les revendications « quantitatives » si vulgaires des ouvriers CGT !

Sitôt la vieille SFIO relouquée par Mitterrand et le PSU liquidé par les siens (fin des années 70/début des années 80), sitôt Mitterrand parvenu au pouvoir, le gauchiste de salon se révéla un parfait gestionnaire de la société capitaliste. Finies les utopies destinées à mordre sur l’électorat communiste. Ministre, puis premier ministre de Mitterrand, Rocard s’évertua à rassurer le patronat et à prendre de droite le président dont il convoitait la place. Se présentant comme un socialiste « moderne » à la manière de Tony Blair, Rocard mit en musique la première austérité dictée par le « virage » de la rigueur qui, dès 81, accompagna la marche à la dévastatrice monnaie unique. C’est à l’époque où Rocard était premier ministre de Mitterrand que le statut des dockers fut durement attaqué et que Renault, semi-privatisée, fut frappé au cœur (fermeture de Renault-Billancourt, licenciement des dirigeants CGT) par celui qui, en 68, prétendait parler au nom du prolétariat. C’est Rocard qui institua la CSG, cette manière d’obliger les travailleurs à financer la protection sociale en lieu et place de plus en plus souvent exempté du paiement de ce salaire indirect que sont les cotisations Sécu…

Plus gravement, c’est encore Rocard qui engagea la France dans la première guerre du Golfe déclenchée par Bush Senior en 91 avec à la clé, un blocus de l’Irak qui allait faire plus de cinq cents mille victimes.

N’ayant pas pu devenir président, Rocard n’en participa pas moins à toutes les campagnes idéologiques qui, du référendum sur Maastricht au référendum violé sur l’euro-constitution, ont permis à la bourgeoisie de mettre en place la funeste « construction » européenne et le ruineux euro qui détruisent notre pays, ses services publics, sa production industrielle, sa langue et ses fondamentaux républicains.

Bien entendu, Rocard n’a pas manqué d’applaudir à la chute des pays socialistes en qualifiant la Révolution d’Octobre de « putsch », lui qui jadis flirtait (le romantisme ne coûte pas cher…) avec l’idée d’une prise de pouvoir par la violence armée. Mais il faut ce qu’il faut pour s’ouvrir un marché et pour, une fois qu’on y a pris près, reformater la demande en fonction de l’offre… Cependant à ce petit jeu, les DSK, les Valls et les Macron trouveront toujours un jeune loup pour les doubler sur leur droite…

Saluons néanmoins un parcours politique sans faute puisque d’un bout à l’autre de son existence, et sans cesser de poser à l’ « homme de gauche » devant nos journalistes aveugles, Rocard aura bien servi sa classe, la grande bourgeoisie, et la stratégie de cette classe : la désintégration européenne de la nation, à défaut de servir le peuple et les idéaux de Jaurès.

A chaque classe ses grands hommes…

par FLOREAL sur INITIATIVE COMMUNISTE

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16 juillet 2016 6 16 /07 /juillet /2016 10:00

En face de ceux qui peinent de plus en plus à rembourser une dette qu’ils n’ont pas causée, il y a ceux qui profitent.

Ceux qui avaient entre dix et vingt ans en mai 68, qui se juchaient sur les barricades, et qui ont réussi. Ils disaient alors: «Jouissez sans entrave!», «Prenez vos désirs pour des réalités», «Il est interdit d’interdire.» Et ils ont bâti un capitalisme à leur image. Un capitalisme du désir sans limite, d’un individualisme forcené. Un capitalisme de l’immédiateté.

Dans les années soixante-dix, alors que la France était majoritairement à droite, ils se voulaient de gauche. Contre tous les interdits bourgeois, contre tous les tabous. L’ordre qui brimait leurs désirs était mauvais, et ils le contestaient. Il fallait faire la Révolution et changer les moeurs pour jouir immédiatement.

Dans les années quatre-vingt, l’âge venant, ils ont mesuré tout l’intérêt du pouvoir, de l’argent, de la réussite. Ils sont devenus gens de droite. Mais comme la gauche est devenue majoritaire, ils ont pris leur carte au Parti Socialiste, et ont formé la «gauche moderne», ou encore les «rocardiens», dont Michel Rocard est innocent, en réalité. Mais cette étiquette leur allait bien, et sous un label de gauche, ils ont entamé l’oeuvre qu’ils auraient tout aussi bien menée à droite si Mitterrand n’avait pas gagné en 1981. Ils ont dérégulé, libéralisé, privatisé, modernisé à tout va.

Ils ont commencé à s’enrichir. Ceux qui sont restés fonctionnaires ont organisé les baisses d’impôt pour ceux qui sont passés dans le privé. Ils ont couvert l’administration de leur chape de plomb et ont écarté tous les gêneurs. Le système est devenu leur chose profitable. Les déficits n’ont cessé de se creuser. Qu’importe, l’essentiel était le moment présent, le pouvoir, la reconnaissance qu’on en retirait. Ne dire non à aucun puissant. Ne se fâcher avec aucun soutien possible, dussent-ils vider pour cela le Trésor public. Les générations futures n’auront qu’à se débrouiller.

L’obsession de la croissance, de l’enrichissement vite et fort, de la réussite ostentatoire sont les mamelles du capitalisme de mai 68. Il se présente sous les apparences louables de l’esprit d’entreprise, de la libre initiative, de la rémunération du risque. Il cache en réalité l’amour de la rente et l’aversion pour l’incertitude. La caricature en est le High Frequency Trading, cette technique de trucage boursier qui permet aux spéculateurs d’empocher à coup sûr des plus-values sur les marchés, sans le moindre risque. Plus de la moitié des ordres passés à New York en relève. Et ceux-là qui transforment la bourse en jeu de bandit manchot nous donnent ensuite des leçons sur l’esprit capitaliste, sur le respect de la morale, et sur l’abomination que constituent tous ces assistés qui vivent de minima sociaux.

Encore cela n’est-il rien. Que dire de ces machines à rente que l’on nomme grandes entreprises, puisqu’elles vivent des petits arrangements décidés par l’État, le plus souvent conduits avec des fonctionnaires complaisants de Bercy. Il suffit de prendre la composition du CAC 40 pour mesurer l’ampleur de la collusion entre les grandes entreprises françaises et la technostructure publique. Pour l’essentiel, ce sont d’anciennes nationalisées: Total, France Telecom, les banques, les compagnies d’assurance, qui ont grandi à l’abri de l’État et qui continuent à obtenir des réglementations protectrices pour leurs petits arrangements.

Il ne s’agit d’ailleurs pas de dire ici qu’elles sont mal gérées, ou qu’elles n’affrontent pas de véritable concurrence. En revanche, elles ne peuvent nier qu’elles bénéficient d’un avantage comparatif certain, par rapport à leurs équivalentes de droit commun, en quelque sorte, puisqu’elles ont toujours disposé d’un accès privilégié à la réglementation. La caricature de ce phénomène reste l’invention par Bercy du bénéfice mondial consolidé, qui a permis à Total d’échapper pendant des années à ses obligations fiscales en matière d’impôt sur les sociétés. Mais que dire de la défiscalisation des stock-options? Des innombrables niches inventées année après année, ni vues ni connues, pour régler les problèmes d’un petit monde discret mais bien résolu à préserver son patrimoine et sa rente?

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16 juillet 2016 6 16 /07 /juillet /2016 09:48

La loi vient d’être promulguée en Russie. Dorénavant, «il est interdit de cultiver des plantes et d’élever des animaux dont le programme génétique a été modifié avec l’utilisation du génie génétique». Sauf pour des expériences à but scientifique, bien sûr. Ainsi, le moratoire introduit en 2014 devient définitif. Or, cette nouvelle législation permet également au gouvernement d’interdire l’importation des OGM à l’issue d’une étude de leur impact sur la population et l’environnement. De quoi barrer la route aux géants occidentaux de la biotechnologie, tels Monsanto.

Plus largement, la loi anti-OGM s’inscrit dans un plan ambitieux du président Vladimir Poutine pour faire de la Russie le plus grand exportateur mondial de produits non modifiés génétiquement et atteindre par la même occasion l’autosuffisance alimentaire d’ici 2020. «Il y a dix ans, nous importions encore la moitié de notre nourriture», rappelait récemment le maître du Kremlin. «Aujourd’hui, la Russie est capable de devenir le principal exportateur (…) d’aliments sains, écologiques et de haute qualité, que les producteurs occidentaux ont perdu depuis longtemps!»

Mieux que les ventes d'armes !

Les exportations agricoles russes rapportent déjà davantage que les ventes de kalachnikovs et autres matériels militaire, notait le mois dernier l’agence Bloomberg. Le pays a même détrôné cette année les Etats-Unis, devenant le premier exportateur mondial de blé.

C’est une sacrée bouffée d’air pour une Russie durement affectée par la chute des cours du pétrole, la plongée du rouble, les sanctions financières imposées par l’Occident après l’annexion de la Crimée et la plus longue récession depuis que Vladimir Poutine est arrivé au pouvoir, il y a seize ans. En tout cas, ce boom agraire lui permet de réduire la dépendance de son pays à l’égard de voisins avec lesquels il est souvent en délicatesse. Ainsi, depuis 2013, les importations de produits alimentaires ont fondu de 40%.

Merci à l'Ukraine et la Syrie

La guerre y est pour beaucoup. Suite à l’embargo russe contre les produits occidentaux (en réponse aux sanctions financières) et celui décrété contre la Turquie (après qu’un avion de combat russe a été abattu à la frontière avec la Syrie), le coût des aliments a pris l’ascenseur dans les magasins et la production intérieure est soudain devenue beaucoup plus rentable. Encouragées par des mesures incitatives, les grandes fortunes russes investissent à tour de bras dans les terres arables. Pour devenir, peut-être, les colosses de demain.

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16 juillet 2016 6 16 /07 /juillet /2016 09:43

Le 9 juillet dernier, le Pr Henri Joyeux a été radié de l’Ordre des médecins pour avoir souligné les contradictions qui existent dans la politique vaccinale en France.

Le verdict de la chambre régionale du Conseil de l’Ordre est tombé. Il est conforme à ce que l’on pouvait attendre d’un système aux abois pour qui la moindre critique est perçue comme une dangereuse subversion.

Le scénario était cousu de fil blanc. L’Ordre des médecins ne pouvait pas laisser passer un discours qui fût légèrement différent de celui des autorités de santé. Cela aurait été contraire au despotisme exercé par cette institution sur les médecins bâillonnés avec la double bénédiction de la Sécurité sociale et des laboratoires pharmaceutiques.

Sans grande surprise, les médias officiels ont répété, sans analyser ni réfléchir, l’information.

Selon eux, le Professeur Henri Joyeux aurait été radié pour avoir « critiqué la vaccination ». Ces médias « oublient » de mentionner que, sans l’alerte lancée par le Pr. Joyeux, personne ne se serait ému de l’augmentation vertigineuse du coût des vaccins obligatoires passé de 7 euros en 2008 à 39 euros à l’heure actuelle.

Personne non plus n’aurait pris le temps de vous expliquer qu’en France on mélange sciemment vaccination obligatoire et vaccination recommandée, notamment pour écouler les stocks de vaccins hépatite B, vaccin controversé et non nécessaire pour les petits enfants.

Tous les médias officiels se font donc les complices d’une stratégie commerciale inique des laboratoires pharmaceutiques. Leurs articles semblent n’être qu’une autre manière de faire de la publicité pour des annonceurs dont l’intérêt premier est que vous soyez désinformés. Dont acte.

Le Professeur Henri Joyeux se donne le temps pour réfléchir à la meilleure manière de répondre à ses détracteurs. Mais il semblerait utile pour tous qu’il fasse appel de cette décision régionale afin qu’elle soit jugée au niveau national. Ce niveau du Conseil de l’Ordre n’est pas plus indépendant que le précédent, mais cela aura le mérite de continuer à faire vivre un débat nécessaire.

Par ailleurs, quelle que soit la position prise par le Conseil de l’Ordre en appel, il restera toujours la possibilité de saisir le Conseil d’État qui, en matière de liberté d’expression des médecins, sera - on l’espère - plus rigoureux et protecteur des libertés fondamentales.

Nous soutenons pleinement et avec détermination l’engagement du Professeur Henri Joyeux dans cette affaire qui reste donc à suivre !

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9 juillet 2016 6 09 /07 /juillet /2016 11:02
La race noire est grandement supérieure à la race bleue !

Est-ce un effet du réchauffement climatique ? Mais les faits sont têtus, comme le disait le camarade Lénine… Les Noirs ne sont pas bleus. Ils ont beau faire des efforts, et ça n'y change rien. Et, c'est un fait que l'on est obligé d'accepter. La race noire est supérieure à la race dite blanche, et on devrait l'appeler la race bleue. Bien sûr, au cours des siècles, on avait expérimenté les noirs en les faisant mettre aux premières lignes dans les attaques contre les boches. En 1914-18 et en 1939-45. On a pu mesurer les qualités supérieures du cuir des noirs. En effet, la race noire, à cause d'une particularité dans la pigmentation, offre une résistance grandement supérieure aux bleus, fussent-ils qualifiés de blancs. Et on ne sera pas surpris que l'équipe de France utilise mieux les noirs, en les faisant jouer pacifiquement, au football ! Et alors ils font merveille, tous ces "blacks", qu'on n'hésitera pas à qualifier de "nègres". Ainsi on les voit, jouer contre les Islandais, et il suffit de les voir évoluer sur la pelouse du Stade de France. Et les nordiques font pâle figure. Et quand on voit un blanc qui fait grise mine, on se dit que c'est trop, ou pas assez. Et quand on repense à cet extraordinaire Abdel Kader Zaaf, qui fut une lanterne rouge, dans les années cinquante, et ça y était : Bleu Blanc Rouge. Oui, la race noire est supérieure à la race bleue. Et les citoyens auront beau faire, déployer des drapeaux tricolores, comme je les vois faire en cette fin de semaine. On voit même des noirs sur un vélo, dans le Tour de France 2016.

Ah ! on aura bien du mal à les tenir, ces gens multicolores. Et tout ça a commencé par un seul drapeau, dont les couleurs furent dominantes. Et je ne vous dis pas lesquelles. Ah vous êtes bien feintés, je vois !... Sachez seulement que les noirs risquent de déteindre sur les blancs. Or, les blancs ne déteignent jamais sur les noirs. Quant aux bleus, ils deviennent vite envahissants. Et ils déteignent partout. Il suffit de leur planter un petit morceau de bois, et aussitôt ils se métamorphosent en drapeau, par un phénomène surnaturel, il va s'étendre partout.

Je les trouve carrément insupportables, ces bleus. Et je suis scandalisé qu'ils puissent déteindre sur les roses. Parce que les bleus ne sont pas faits pour être roses. Vous avez compris mon raisonnement ? Vous avez de la chance...

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