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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 09:47

Le samedi 31 mai, la ville d’Alès accueillera une corrida dans ses arènes. Mobilisons-nous nombreux pour que cessent les sévices infligés aux taureaux à Alès et ailleurs en demandant la suppression de la corrida en France ! Une exception du Code Pénal permet encore les sévices graves envers les animaux au nom de la tradition culturelle !
La barbarie tauromachique espagnole en plein coeur des Cévennes. Quelle honte pour cette magnifique région française !

Signer la pétition pour la suppression de l'exception incluse dans l'alinéa 7 de l’article 521-1 du code pénal visant à punir les sévices graves envers les animaux domestiques, apprivoisés, ou tenus en captivité sauf exception locale sous couvert de tradition culturelle. L'exception concerne les corridas et les combats de coq dans un texte législatif condamnant les actes de cruauté.

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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 09:36

La cour de justice centrale de Riga, en Lettonie, vient de mettre aux arrêts le militant du parti  l’"Autre Russie" Ayo Benes, surnommé le  Lénine noir". La police de la sécurité lettone a ouvert contre lui une procédure judiciaire pour "appel au renversement violent de l’Etat et à l’élimination de l’indépendance de la Lettonie". 

Ayo Benes est l’un des plus célèbres combattants pour les droits de la langue russe en Lettonie. Ces derniers mois, il a été très actif au sein des partisans du «printemps russe» en Ukraine. Il a fait partie des rangs de la milice d’autodéfense au cours du référendum sur l’adhésion de la Crimée à la Fédération de Russie. On se souvient aussi qu’à Donetsk, il s’est fait connaître comme brillant orateur lors des meetings pro-russes où ses discours  enflammaient la foule. Puis, il a été deux fois expulsés d’Ukraine par le Service de sécurité ukrainien. Lors de sa dernière déportation, on l’a immédiatement arrêté à Riga, capitale de la Lettonie.

Auparavant, les autorités lettones voulaient le priver de sa citoyenneté pour sa participation à la milice d’auto-défense de la Crimée. Maintenant, ils sont résolus à l’envoyer en prison . De toute évidence, ils ont peur que le «printemps russe» ne se propage en Lettonie où 40 % de la population sont Russes et dont une partie considérable est privée de ses droits civils…

 

 

Selon des informations issues de la Résistance, Alexandre Gerasimov dont je décrivais récemment la disparition,  est vivant. Il est dans un bon hôpital, soigné pour des blessures graves, surtout une fracture du bassin (pelvis). On peut ajouter à ses malheurs, des brûlures. Mais il n’a pas, heureusement, de problème pour payer les frais d’hôpital car, actuellement en Ukraine la médecine est payée à 100% par les patients. A Odessa, il y a une collecte de fonds pour les blessés du carnage du 2 mai, malgré le marasme économique.

Le représentant de la Résistance m’a informé que depuis le 16 mai, le SBU et la police ont commencé à faire des interrogatoires dans les hôpitaux mais, ils le font de façon déconcertées et séparées. Le SBU considère comme «témoins», les personnes victimes du massacre de la Maison des syndicats. Mais, selon la pratique judiciaire courante ukrainienne, les «témoins», après interrogatoire, passent en catégorie «accusés». Pour la police en revanche, ce sont des «victimes».

Dans les hôpitaux, les patients refusent de parler : «Je n’ai rien vu, je ne connais personne ; je n’ai rien compris, je ne sais pas ce qui s’est passé».

Il faut se rappeler que, pendant le procès mondialement connu dit «affaire de torture d’Odessa» (2003-2004), contre un groupe de la Résistance communiste armée dans notre ville, la cour de justice n’a pas reconnu les nombreux faits de tortures féroces, malgré les preuves flagrantes et la mort d’un des détenus suite à ces dernières. Par exemple, des cicatrices très visibles sur les mains et les pieds, avec des marques de menottes, qui servaient à les accrocher pendant des heures, ou encore les multiples fractures, etc. Les citoyens Russes, membres du groupe, étaient aussi torturés de la même manière. Le SBU et le pouvoir de l’époque avaient jugé ça très compromettant et avaient donc donné l’ordre au juge de ne rien reconnaître. Pourtant, ce dernier en parlait en privé, sans se cacher.

La même parodie de justice mâtinée de cynisme est préparée par le SBU dans les mois qui viennent. Les victimes vont être accusées à tort. D’ailleurs, ce n’est un secret pour personne.

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 10:30

moulin.jpgC’est Yves Rénier, lors de l’émission « C à vous », qui est l’auteur de ce « dérapage », comme on dit depuis qu’il existe un langage « jeune ». Ce langage dit « jeune » s’inscrit dans la philosophie du « Jeunisme », qui part du principe selon lequel les ignorants instruisent ceux qui disposent du savoir. Mais revenons à la « foufoune » à Sosso.

Examinons d’abord de près la foufoune de Sophie Lapix. Est-elle tondue ? Et d’abord d’où vient ce mot ? De « fesse » semble-t-il, et dans le langage enfantin. Il en résulte que Sophie Lapix serait restée infantile. Elle en serait au « stade anal » et pas encore au « stade oral », selon la terminologie de la psychanalyse. Alors pourquoi jacasse-t-elle à la télévision ? Maintenant que nous sommes instruits sur cette partie du corps de Sosso, voyons la pratique de la tonte du pubis. Quitte à décevoir les tenants de la culture « djeune », il faut avouer que cette tonte est très ancienne. Selon Mahomet, elle est aussi nécessaire que la circoncision pour les mâles. Sinon le jardin d’Allah vous passe sous le nez ! Mais on remonte encore plus loin. Ce souci, non pas esthétique mais religieux, était connu en Egypte du temps des pharaons. Certains mâles prétendent que cette fourrure en peau de porc-épic n’est pas confortable. Ce sont des petites natures, qui redoutent la peau de Sosso mal rasée ! « Ca écorche la bite », dit un lexicologue élégant, Jean-Marie Bigard. Bigard ne conseille pas la tondeuse à gazon ni la tondeuse à moutons. « C’est trop gros pour la petite « foune » de Sophie » (sic, je l’ai interrogé sur ce sujet brûlant…). Or la libération du langage ne date pas d’hier. Rabelais intitulait un chapitre de son Gargantua « De l’invention d’un torche cul » et on lui doit des formules de style très audacieuses, comme « faire la bête deux dos ». Mais ici intervient le deuxième « dérapage » du Commissaire Moulin, qui a porté ce jugement sur les représentants de l’ordre : « Tous les policiers sont des fachos ». Je ne serais pas surpris que le vrai « dérapage » soit cette réflexion faite par le même Yves Rénier. Car toutes les plaisanteries qui concernent le sexe sont acceptées mais les accusations contre les détenteurs du pouvoir constituent toujours le vrai sujet tabou.

Au fait les gendarmettes ont-elles le devoir de se raser la foufoune ? Il y va de l’honneur de la police. Quand elles vous arrêteront, demandez-leur : « Avez-vous la foufoune rasée ? »  Simple question de politesse.

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 10:29

Comme chaque année à cette date, nous commémorons un épisode douloureux dans nos mémoires. La Palestine, alors sous mandat britannique, est conquise par les milices armées du mouvement sioniste, qui fonde en mai 1948 l’État d’Israël, tandis qu’une majorité de Palestiniens est forcée à l’exil. Pointe avancée du colonialisme européen, et bientôt d’un néocolonialisme américain, l’État d’Israël pourra compter avec leur soutien moral, financier et militaire, pour poursuivre sa politique d’expansion contre la volonté et la résistance des peuples de la région. L’expulsion massive de 1948 ne constitue qu’une étape dans l’entreprise minutieuse de dépossession et de confinement des Palestiniens, qui se poursuit à ce jour.

Comme chaque année à cette date, nous affirmons que notre combat n’a pas changé. Sous occupation et sous blocus, dans les camps de réfugiés ou dans les prisons, nos résistances sont autant de voix qui crient : Pour le Retour et la Libération ! Rassemblement Samedi 17 Mai de 14h à 18h – Place de Stalingrad – Paris 19ème

Premiers signataires : Union Générale des Étudiants de Palestine*GUPS Paris ; Mouvement des Jeunes Palestiniens*PYM France ; Génération Palestine*Paris ; CCIPPP ; PIR ; Le Groupe des associations de Bagnolet ; Uni-T ; UJFP ; Mouvement Echaâb ; Coordination contre le Racisme et l’Islamophobie ; CVPR-PO ; ISM-France ; L’inter-collectif de solidarité avec les luttes des peuples du monde arabe (l’Inter-co) ; FTCR ; Forum Franco-Palestinien ;

pour signer ce communiqué : gupsparis@gups-france.org

Source : http://www.gups-france.org/

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 10:23

Invité le 6 mai dernier à la Libre Antenne de Meta Tv, le Pr. Bassam Tahhan, géopolitologue réputé et islamologue, apporte dans cet entretien une analyse juste concernant les conflits déclenchés par l’OTAN dans le monde :


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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 10:08

assistes.jpg

L’année dernière, Le Monde diplomatique figurait à la 178e place des 200 titres de presse les plus aidés par les pouvoirs publics en 2012, très loin derrière Le Monde (1er), Le Figaro (2e), mais aussi Le Nouvel Observateur (8e), L’Express (9e), Télé 7 jours (10e), Paris Match (12e), Valeurs Actuelles (66e), Télécâble Satellite Hebdo (27e), Point de Vue(86e), Closer (91e), Le Journal de Mickey (93e), Gala (95e), Voici(113e), Prions en église (121e), Auto Moto (124e), Mieux vivre votre argent (131e), Détente Jardin (167e), Spirou (172e)…

Entre les deux premiers titres, dotés de plus de 18 millions d’euros chacun, et Le Monde diplomatique avec 188 339 euros, l’écart allait de 1 à 100. De 1 à 36 entre Le Monde diplomatique et Télé 7 jours. Dès lors que l’argent des contribuables doit servir, selon la volonté du législateur, à aider les publications qui concourent au débat public, une telle discordance entre les sommes rondelettes offertes à un titre du groupe Lagardère lardé de publicité et destiné à annoncer les programmes de télévision, et celles, fluettes, dévolues à un journal comme le nôtre, ne pouvaient que résulter d’une erreur…

Il n’en est rien. En 2013, Le Monde diplomatique a purement et simplement disparu de la liste des deux cents titres les plus aidés, rendue publique le 5 mai par le ministère de la culture et de la communication.

L’an dernier, Le Figaro a battu Le Monde d’une courte tête pour devenir médaille d’or des publications aidées par l’Etat (un peu plus de 16 millions d’euros chacun). Et Télé 7 jours… a gagné une place (9e en 2013, avec 6 947 000 euros, soit 27 000 euros de plus qu’en 2012).

Il faut féliciter l’Etat pour sa scrupuleuse impartialité : les publications les plus scandalisées par le montant des dépenses publiques, celles qui matraquent le thème du « ras-le-bol fiscal » et se montrent les plus enthousiastes quand les retraites sont gelées, n’ont pas pour autant été négligées par la « mama étatique » — une formule de l’hebdomadaire Le Point — lorsqu’elles ont tendu leurs sébiles en direction des ministères.

Le Point, justement, a continué à toucher plus de 4,5 millions d’euros, soit 22 centimes d’aide du contribuable pour chaque hebdomadaire diffusé, bien que le titre appartienne à la famille Pinault, sixième fortune de France (11 milliards d’euros). M. Serge Dassault, cinquième fortune de France (12,8 milliards d’euros), sénateur UMP et propriétaire du Figaro, a reçu, lui, 16 centimes de l’Etat pour chaque exemplaire vendu d’un journal qui exalte les vertus de l’austérité budgétaire. Et c’est sans doute parce que le quotidien Les Echos appartient à M. Bernard Arnault, première fortune de France (24,3 milliards d’euros), que ce quotidien économique qui, lui aussi, peste sans relâche contre les dépenses publiques, n’a reçu en 2013 que 4 millions d’euros du contribuable…

Lorsqu’une publication quitte un tableau, un palmarès, une autre s’y substitue. Coïncidence saisissante (c’en est une) : presque à la place qu’occupait Le Monde diplomatique en 2012, et pour un montant à peu près identique, L’Opinion a surgi en 2013 (177e avec 184 000 euros d’aides de l’Etat).

L’Opinion est ce quotidien lancé par M. Nicolas Beytout, avec des concours financiers dont la transparence n’est pas absolue, mais au service d’une ligne rédactionnelle qui, elle, ne laisse planer aucun mystère puisque c’est celle du Medef. La diffusion payée du journal de M. Beytout est confidentielle (de mille à trois mille exemplaires par jour en kiosques), mais sa seule survie permet à son créateur de naviguer d’une antenne à l’autre et d’être très généreusement cité dans la plupart des revues de presse. Ce qui, là encore, n’est pas donné à tout le monde.

Le ministère de la culture et de la communication, à qui il faut savoir gré de la publication, très pédagogique, du montant annuel des aides publiques à la presse, prétend que celles-ci « concourent à la modernisation et la diffusion partout dans le pays d’une presse pluraliste et diverse. »

Source

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 10:01

Le Nigeria, pays le plus peuplé d’Afrique et son premier producteur de pétrole, est de toute évidence systématiquement jeté dans le chaos et l’état de guerre civile.

Le Nigeria est aujourd’hui l’un des plus importants producteurs mondiaux de pétrole brut de haute qualité comme celui produit en Libye. Le pays montre tous les signes d’une spirale de violence l’affaiblissant profondément. Le Nigeria est le cinquième plus grand fournisseur de pétrole des États-Unis et douzième producteur de pétrole dans le monde sur un pied d’égalité avec le Koweït et juste derrière le Venezuela avec une production de plus de deux millions de barils par jour.

En 2005, un rapport du Conseil national américain du renseignement prédisait que le Nigeria pourrait s’effondrer au cours des quinze prochaines années. Au train où vont les choses, avec la recrudescence des massacres terroristes commis par la secte Boko Haram, le nord du Nigeria semble plonger dans une instabilité croissante. Seulement voilà, on ne sait pas qui se cache derrière Boko Haram. Un article du NewYork Times, In Nigeria, Boko Haram Is Not the Problem, se demandait si Boko Haram était une unique entité où si il s’agissait d’un prête-nom utilisé par différents acteurs aux intérêts divergents. Le fait que le Nigeria ait fait appel aux Etats-Unis pour régler le problème de la violence au nord du Nigeria ne laisse pas forcément augurer du meilleur.

La question est de savoir qui se cache derrière Boko Haram et quels sont les intérêts sous-jacents. La main de la CIA avait déjà été évoquée Boko Haram: A CIA Covert Operation; America’s Destabilization Plots Against Nigeria–GreenWhite Coalition.

Les autorités du Nigeria ont-t-elles capitulé en refusant de régler le problème par elle-même et en faisant intervenir les services étatsuniens ?

 

Source : http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 09:57

Au lendemain de la deuxième guerre mondiale, le General De Gaulle ramené au pouvoir en 1958 pour gérer la crise algérienne comprend que le vent a tourné et qu’il n’est plus possible de maintenir les colonies africaines sous la domination totale et visible de la France. Il a alors la géniale idée (inspirée du nazisme?) de rendre la domination indirecte et cachée en proposant alors de réunir les colonies dans la communauté française, une sorte de fédération dans laquelle elles n’auraient en réalité pas plus de pouvoir qu’avant.

Ainsi, sous la pression des partis de Gauche, des nouvelles grandes puissances, l’URSS et les Etats-Unis et des syndicats africains, De Gaulle permet aux africains de décider au cours de leur participation au Référendum sur la constitution de 1958, si elles souhaitaient intégrer la communauté française ou accéder à l’indépendance. Mais il menace de couper tout lien et toute aide économique à tous les pays qui se détacheront de la France. Tous les pays africains vont accepter cette proposition en dehors de la Guinée de Sékou Toure qui dit NON. En guise de punition la France va pratiquement étrangler ce pays et tenter plusieurs fois de renverser son régime.

Selon François-Xavier Vershave, auteur du livre La Francafrique, alors qu’il exposait aux années 60, l’apparente bonne intention à accorder l’indépendance aux pays africains, le General De Gaulle en sous-main ordonnait à Jacques Foccart, de triste mémoire d’éliminer tous les nationalistes africains, jugés dangereux pour les intérêts de la France, parce qu’ils désiraient une véritable indépendance. C’est ainsi que Um Nyobe, Ernest Ouandié, Félix Moumié au Cameroun, Sylvanus Olympio au Togo, Barthélémy Boganda en Centrafrique, le Dr. Outel Bono au Tchad, Germain Mba au Gabon ont été éliminés pour favoriser l’accession au pouvoir des hommes de main dont certains tels qu’Omar Bongo étaient agents de la DGSE, le service de renseignement français.

Et ces hommes politiques ont eu le droit, tant qu’ils protégeaient les intérêts français de rester au pouvoir, au besoin par la fraude électorale, pendant des décennies et même de le passer comme on l’a constaté au Gabon et au Togo à leur progéniture. Ne nous laissons donc plus distraire par ces beaux discours sur la démocratie, la bonne gouvernance, les droits de l’homme ou l’aide au développement. Ce sont simplement des artifices qui aident à maintenir la façade de bienveillance utile à la rapine. Cette guerre contre l’Afrique s’est poursuivie après les indépendances sous la forme perverse des accords de coopération économiques, financiers, militaires et culturels que la France a imposés à ses relais africains, nouveaux chefs d’Etat de ce qui est devenu son pré-carré, l’Afrique Subsaharienne francophone.

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 09:51

Parmi les militants anti-Maîdan, beaucoup disparaissent. Depuis le 8 mai dernier, on est sans nouvelle du "Lenine noir" Ayo Banes, arrêté à la frontière ukrainienne. Il y a aussi Alexandre Gerasimov, qui ne répond plus à l’appel. Il fait partie des disparus d’Odessa. Il était l’un des militants les plus actifs des anti-Maïdan d’Odessa. Il ne figure pas sur  la liste des morts de la Maison des syndicats. Personne, actuellement,  ne sait où il est. On ne l’a pas vu le 2 mai dernier pendant la bataille au centre-ville, puis, près du Maison des syndicats. Soit, il est en cavale, soit, il a été arrêté par la police ou le SBU, enfin, soit, il est mort.  Son téléphone qu’il m’a donné il y a deux mois, ne répond plus. J’ai tenté de le contacter et, j’ai reçu le message suivant: «tous les appels rentrants sont bloqués par l’opérateur».

Communiste révolutionnaire d’Odessa, Alexandre Gerasimov est membre de la résistance armé contre le régime de Kiev. Il fut torturé par le SBU entre 2002 et 2003. Son histoire se confond avec le «procès sur la torture d’Odessa», bien connu par tout le monde, sauf… en Ukraine et à Odessa, où il est entouré d’une silence de plomb. Il y a pourtant des références internationales comme ces lettres adressées au pouvoir ukrainien de la part de "The International Action Center", fondé en 1992 par Ramsey Clark, Procureur général des États-Unis (United States Attorney General) sous la présidence de Lyndon. Les textes intégraux sont consignés ici.

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10 mai 2014 6 10 /05 /mai /2014 10:36

Les hommes dits "libres" chient dans leur froc ! Heureusement il y a des gens intelligents en prison, et je parle des détenus. Et vous pouvez me faire confiance. Je ne sais pas quand cette publication sera livrée au public. J'ai bien fait gaffe à ne pas vexer ces Messieurs de la "Justice". Ils ont un sens de l'humour très relatif.

Comme prévu dès 2001 dans "2001, Odyssée de l'espèce" et en 2006 dans "On les aura", la prison a pris la nouvelle dénomination de "Réinsertion".

Voilà ce que c'est que d'être un grand prévisionniste Météo de la Justice. J'annonce un temps de plus en plus orageux pour les pauvres. Du soleil en abondance pour les riches :

L'Impénitent


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