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25 décembre 2021 6 25 /12 /décembre /2021 10:52

A la gare de l’Est à Paris, on contrôle un à un les passagers du TGV avant le départ puis on leur assigne un bracelet qu’ils doivent porter au poignet jusqu’à l’arrivée.

Ce zèle administratif est tout à l’honneur de la SNCF, du moins à celui de ses technocrates.
Quand même. On aurait préféré un marquage plus radical, comme le fer rouge. Il aurait eu l’avantage de décourager les voyageurs et de mettre au chômage ces bons lèche-culs du système.

 

 

 

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25 décembre 2021 6 25 /12 /décembre /2021 10:35

Le gouvernement néo-zélandais Travaillistes-Verts de Jacinda Ardern  a décidé d’interdire à terme la production et l’usage de tabac. Dès à présent, il est interdit aux moins de 18 ans, âge qui sera chaque année augmenté jusqu’à l’interdiction complète. (Extrêmement populaire, Jacinda Ardern est la première femme Premier ministre (après Benhazir Bhutto) à avoir accouché durant son mandat.)

L’interdiction du tabac touche d’abord la population autochtone des Maoris qui en consomme beaucoup plus que celle des descendants des immigrés britanniques.

Petit rappel à l’usage des crétins qui se réjouiraient de cette décision : les interdictions de ce genre qui ont fleuri durant les années 1930-40 avec la prohibition de l’alcool aux États-Unis et du tabac en Allemagne, puis depuis les années 1960 avec l’interdiction des hallucinogènes dans le monde, ont toutes échoué et suscité la création de vastes mafias.

 

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25 décembre 2021 6 25 /12 /décembre /2021 10:28

Les médias officiels n’enquêtent pas sur les passifs d’Emmanuel Macron et de Valérie Pécresse. Et c’est bien dommage.

Selon le magazine l’Incorrect, les nominations simultanées en 2011 de « Valérie Pécresse, comme ministre du Budget, et de son mari Jérôme, comme président d’Alstom Renouvelables ont permis un déblocage soudain et surprenant de l’éolien en mer [en France]. Il a coûté cher à l’État et s’est terminé en fiasco, mais il a été rentable pour l’avancement de monsieur Pécresse au sein d’Alstom. »

Puis il y a eu le scandale de la vente du fleuron industriel et stratégique français qu’est Alstom. La vente des activités énergie à l’américain Général Electric a été une perte de souveraineté sans égale pour la France, qui a remis entre les mains des Américains des technologies et des activités les plus sensibles concernant, entre autres, les centrales nucléaires. Le mari de Pécresse, Jérôme Pécresse, est au cœur de ce scandale, il était le bras droit du PDG d’Alstom, Patrick Kron, lors de l’intégration d’Alstom à General Electric. D’ailleurs Jérôme Pécresse est le seul dirigeant clef que les américains n’ont pas viré suite à l’opération de rachat, il a même été promu PDG de GE Renewable Energy. Hors rémunérations, le mari de Valérie aurait touché, minimum, 2 millions d’euros.

Cette Affaire Alstom-General Electric, ne touche pas que Pécresse mais aussi Macron et toute l’élite financière parisienne qui se serait mis dans les poches 1/2 milliards € en  frais de conseil divers.  Le député LR, Olivier Marleix, avait saisi la justice en janvier 2019 pour qu’elle enquête sur les circonstances de cette affaire. Le député émettait  notamment l’hypothèse d’un possible « pacte de corruption » au bénéfice de celui qui a favorisé la vente, le ministre de l’économie d’alors : Emmanuel Macron. Ce dernier aurait bénéficié indirectement du demi-milliard d’euros pour sa campagne de 2017, via son parti En Marche. Aujourd’hui Olivier Marleix soutient Valérie Pécresse.

D’ailleurs ce n’était pas la première fois que les Macron et Pécresse collaboraient. Selon Marianne, quand Jérôme Pécresse a décidé de licencier 800 personnes en Ile de France, Emmanuel Macron et lui se seraient gardés de faire publiquement l’annonce avant les élections régionales. Elle aurait pu compromettre l’élection de Valérie à la tête de la même région.

 

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25 décembre 2021 6 25 /12 /décembre /2021 10:16

Entre 2020 et 2021 aux Etats-Unis, il y a eu 260 fois plus de cas de myocardites et péricardites cardiaques enregistrés ! Un chiffre totalement inédit, puisque l’on passe d’une moyenne annuelle de 60 cas à plus de 15 531 en seulement un an !

Mais c’est la répartition de ces inflammations par type de vaccin qui frappe les scientifiques américains indépendants… Toujours selon les données des Etats-Unis, les vaccins Pfizer et Moderna représentent 98,3% des inflammations cardiaques enregistrées¹⁴. Contre seulement 1,7% des cas pour le vaccin JANNSEN.

Or, Moderna et Pfizer sont basés sur la nouvelle technologie à ARN messager qui vient d’être déployée pour la première fois en 2021. Alors que le vaccin JANNSEN utilise la technologie du virus atténué. C’est donc bien l’arrivée de la technologie des vaccins à ARN messager qui génère ce pic INÉDIT d’inflammations du cœur.

Avec l’ARN, au lieu de vous injecter un virus atténué, on vous injecte un message génétique qui va forcer le corps à produire lui-même une partie du virus et donc à réagir en créant des anticorps.
Sauf que c’est la toute première fois que cette technologie est testée dans un vaccin.

Et son arrivée ne passe pas inaperçue.

Dès le 25 juin 2021 : l’autorité américaine des médicaments (la Food and Drug Administration ou FDA) demande l’ajout de cet avertissement dans les fiches d’information des vaccins Pfizer et Moderna (qu’on ne vous montre jamais)¹⁵ : “ Les rapports d’événements indésirables suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec l’apparition de symptômes quelques jours après la vaccination “.

Côté Europe, pour consulter les statistiques, il faut accéder à la base de données publique EudraVigilance (j’insiste ici sur le mot “publique”…). Il s’agit de l’organisme européen chargé de recenser les cas d’effets secondaires suite à la vaccination. Une chose est sûre, ces données n’ont de “publiques” que le nom car je n’ai jamais rencontré autant de difficultés pour y accéder.

Selon ses graphiques, voici les données observables sur le territoire européen :

→ 13 782 cas de péricardites et myocardites recensés en un an ;

→ La technologie ARN messager en cause dans 98% des cas (78% sur Pfizer contre 23% sur Moderna et 7% pour Astrazeneca) ;

→ 63 % des cas chez les hommes, 36% chez les femmes (1% de l’information est manquante) ;

→ La tranche d’âge des 18 à 64 ans regroupe 76% des cas enregistrés ;

→ Un bond de + 37% ces deux dernières semaines.

Bien loin du discours officiel, les centres de pharmacovigilance chargés de recenser les effets secondaires des vaccins anti COVID-19 en France, sont « assaillis par des signalements sur les vaccins ». Voici leurs conclusions depuis le début de la vaccination au COVID-19¹⁸ :

Pour Pfizer : 12 973 effets graves rapportés depuis le début de la vaccination jusqu’au 26 août 2021 dont 650 AVC, 863 cas d’hypertension artérielle, 299 péricardites et 238 myocardites¹⁹ ;
Pour Moderna : 1 984 effets graves rapportés depuis le début de la vaccination jusqu’au 9 septembre 2021 dont 80 AVC, 76 cas d’hypertension artérielle, 56 péricardites et 79 myocardites²¹ !

Alors même que le vaccin Moderna a été dénoncé le premier pour ses effets secondaires, c'est le vaccin Pfizer qui remporte haut la main le pompon.

Les pompiers, qui ont mauvais esprit, préfèrent dire le pimpon !

 

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25 décembre 2021 6 25 /12 /décembre /2021 10:13

C’est la suite d’un long feuilleton. Julian Assange arrêté le 11 avril 2019 après 7 années de réclusion à l’ambassade d’Équateur à Londres avait été jugé non-extradable en raison de son état de santé en première instance en janvier 2021. La Haute Cour de justice de Londres vient de renverser le jugement le 11 décembre 2021 en ouvrant la voie à une extradition vers les États-Unis.

Rappelons que Julian Assange, autrefois encensé par les médias et maintenant abandonné par eux, risque une peine de 175 années de prison (oui vous lisez bien, cent soixante-quinze années de réclusion) par les autorités américaines. Pour obtenir son extradition, les États-Unis laissent entendre qu’il pourrait purger sa peine en Australie, son pays d’origine, et de toutes façons en-dehors d’une prison de régime sévère.

Quand on regarde d’un peu plus près le rapprochement spectaculaire entre les Américains, les Britanniques et les Australiens au prisme du non moins spectaculaire abandon des sous-marins français par l’Australie au bénéfice des américains et des anglais, on peut imaginer les dessous d’une telle promesse. Les américains feront ce qu’ils voudront et les deux petits frères opineront gentiment du chef. Assange dans cette histoire est une victime expiatoire de l’imperium américain. La France s’honorerait en demandant son asile politique.

Avant Edward Snowden, avant Bradley Manning, il y a eu Julian Assange. Ancien informaticien et hacker, fondateur de la plateforme WikiLeaks, Julian Assange s’est attiré les foudres du gouvernement américain lorsqu’il a mis en lumière les dessous de la guerre d’Irak. En 2010, il fait fuiter près de 400 000 documents classifiés de l’armée américaine, portant sur le conflit qui a débuté en mars 2003. Tortures, crimes de guerre, massacres sont révélés au grand public. Ces documents permettent aussi de chiffrer à 109 032 le nombre de morts irakiens causés par le conflit de 2004 à 2009, dont 60% de civils, alors même que les États-Unis vendaient aux médias « les frappes chirurgicales » et affirmaient ne pas disposer d’un tel bilan chiffré.

L’épée de Damoclès de la demande d’extradition américaine pèse sur l’activiste, à la santé désormais précaire, alors qu’il est incarcéré dans une prison de haute sécurité britannique depuis 2019.

 

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25 décembre 2021 6 25 /12 /décembre /2021 10:08

En octobre 2021, une étude sur des données de l’hôpital Robert Debré à Paris a souligné la dégradation de la santé mentale des enfants. Les chercheurs ont compilé des données portant sur 830 enfants de 15 ans et moins. La moyenne d’âge était de 13 ans et demi. D’après eux, le nombre de suicides, de tentatives de suicide et de pensées suicidaires chez les enfants a augmenté considérablement depuis le début de l’épidémie de covid 19.

À la fin de l’année 2020, l’augmentation par rapport à 2019 était même de 299% ![1]

Le ministère de la Santé et même à peu près tout le monde au gouvernement est conscient de cette situation. En effet, plusieurs institutions ont dressé des constats semblables à celui de l’étude précitée. Ainsi, le Défenseur des Droits, une institution créée en 2008 pour lutter contre les discriminations, a signé un rapport paru le 20 novembre dernier.[2] Dans ce document, Claire Hédon, l’actuelle titulaire du poste, liste les raisons du mal-être des jeunes : le harcèlement à l’école, les confinements, les restrictions d’accès aux centres culturels, sportifs et de loisirs, le port du masque et l’atmosphère globale d’incertitude.  

La Direction de la Recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) a également produit une note sur le sujet, publiée en octobre 2021. Ce document confirme le constat général : les jeunes vont mal. Les 15-24 ans ont plus envie de se suicider que les 25-34 ans. Les jeunes filles en particulier seraient déprimées : une jeune fille sur quatre aurait été dans un état dépressif en 2020.[3]

Leur consommation d’alcool et de cannabis a cependant diminué. C’est la consommation de médicaments psychotropes qui a augmenté : +20% en un an !

 

Réaction unanime du Gouvernement à ces enquêtes : "On s'en bat les steaks !"

 

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11 décembre 2021 6 11 /12 /décembre /2021 11:19

Le groupe Thalès a mis au point un « portefeuille d’identité numérique » (Digital Identity Wallet), c’est-à-dire une sorte de passe sanitaire étendu à toutes les démarches de la vie quotidienne, assorti d’un dispositif de reconnaissance biométrique pour empêcher la fraude (voir la vidéo).

Le Digital Identity Wallet est « le meilleur ami de l’homme », nous dit Thalès, car c’est un outil de liberté qui protège la vie privée. Il « offre aux citoyens un contrôle total sur leurs données personnelles, avec la liberté de décider quelles informations ils partagent, quand et avec qui ils souhaitent les partager ». Par exemple, à l’entrée d’un bar, ils peuvent générer un QR code qui ne révèle que leur âge, et aucune autre information personnelle (ce que fait déjà le passe sanitaire).
En d’autres termes, ils partagent leur vie entière avec le groupe Thalès et ses partenaires (dont le gouvernement), mais ne lâchent rien au vigile du restaurant.

Ce passe digitale en préparation nous concerne tous très intimement. Il a déjà valu à Thalès le prix 2019 de « l’entreprise de l’année » par le cabinet Frost & Sullivan, qui relève avec intérêt l’une de ses originalités : « En cas de suspension d’un droit de l’individu pour quelque raison que ce soit, le gouvernement peut l’invalider en temps réel sur la plateforme ». On peut donc désactiver à distance les moyens de paiement, la couverture santé ou le permis de conduire d’un citoyen. Une fonctionnalité dans l’air du temps : la même mesure était préconisée par les sénateurs de la commission prospective en juin 2021 dans la description de leur futur dispositif de crise sanitaire où, « dans un cas extrême, les données médicales d’un individu positif pourraient être croisées avec ses données de géolocalisation, et en cas de violation de sa quarantaine, conduire à une information des forces de l’ordre, ou, par exemple, à une désactivation de ses moyens de paiement. »

En mai 2021, Thalès a fusionné avec l’entreprise Atos pour créer Athea, le champion européen du traitement de données massives et de l’intelligence artificielle pour les secteurs de la défense, du renseignement et de la sécurité intérieure.

Par pure coïncidence, il se trouve qu’en juin 2021, la Commission européenne a acté par la voix de Thierry Breton, commissaire au Marché intérieur, la création d’un Digital Identity Wallet pour tous les Européens. D’ici septembre 2022, les États membres devront en avoir établi les procédures techniques pour lancer des expériences pilotes. Non seulement cette création porte le même nom que le produit de Thalès, mais elle repose, tout aussi étrangement, sur le même argumentaire : « Le portefeuille d’identité numérique permettra aux citoyens de choisir quelles informations d’identité ils partagent avec des tiers, et d’en garder le contrôle. »

Le fait que Thierry Breton ait quitté son poste de PDG du groupe Atos en 2019 pour devenir commissaire européen n’a probablement aucun rapport avec cette troublante coïncidence. On ne voit pas pourquoi il aurait avantagé ni Atos ni Thalès, principal groupe industriel français de sécurité. Et rien de tout ceci ne rappelle la récente enquête de Mediapart dans laquelle on apprend qu’une taupe de Thalès aurait infiltré l’ONU avec la complicité du gouvernement français pour orienter et décrocher les marchés d’équipement électronique des missions de l’organisation internationale.

Mais ce n’est peut-être pas le plus important. L’important est que nous sommes en train d’oublier ce que signifie la liberté. Une armée d’analystes et de communicants au service des grandes entreprises et des administrations s’y emploie chaque jour, en nous persuadant que la liberté est un sujet très technique qui concerne les modalités de stockage de nos données personnelles, et que dans ce domaine, Thalès est plus sûr que Facebook.

Tout comme le « sentiment de la nature » perdure alors que la biodiversité s’effondre, le «sentiment de liberté » demeure, on peut l’éprouver entre deux portiques, mais cela n’enlève rien au fait que la liberté elle-même est en train de disparaître. Après quelques mois, on ne prête probablement plus attention au fait d’avoir dû scanner son visage pour aller au bar, on pense à la soirée avec les amis. On ne voit pas les nouvelles bornes d’identification, pas plus que nous ne voyons les antennes relais quand nous traversons le paysage. Nous oublions que le monde pourrait être très différent, et qu’il l’a été. Il y a trente ans, presque personne n’avait de téléphone portable. « J’ai vécu à une époque, écrit George Bernanos en 1944 où n’importe quel honnête homme pouvait faire le tour du monde avec une simple carte de visite dans son portefeuille. »

Comment lutter contre ce verrouillage de nos vies ? D’abord, combattre autant que possible l’informatisation des activités humaines, qui débouche nécessairement sur l’identification électronique. Créer des espaces alternatifs qui s’y soustraient (pour s’entraîner à la liberté). Quant à moi, je n’ai jamais eu de smartphone. C’est une manière à la fois dérisoire et utile de ralentir la machine. Thalès, pour défendre son Digital Identity Wallet, argue que « 90 % des utilisateurs ont leur smartphone à portée de la main à tout moment ». Ce chiffre ne correspond pas au taux d’équipement en France, qui est de 84 %. En tous cas, il deviendrait beaucoup plus compliqué pour l’État et les entreprises d’imposer la biométrie, les QR code et tout ce qui s’ensuit si un bon quart de la population ne disposait pas de cet objet.

 

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11 décembre 2021 6 11 /12 /décembre /2021 11:14

En Autriche, les citoyens qui refuseront de se plier à l'obligation vaccinale contre le Covid19, qui entrera en vigueur le 1er février 2022, encourront une amende de 3 600 euros, a annoncé ce 9 décembre le ministre de la Santé Wolfgang Mueckstein, lors d'une conférence de presse. La mesure concernera tous les Autrichiens à partir de 14 ans.

L'exécutif autrichien a donc décidé de durcir un peu plus le ton. Selon le projet de loi qui avait filtré il y a quelques jours dans les médias locaux, relayés par l'AFP, l'amende encourue pour toute personne de plus de 14 ans qui n'aurait pas sauté le pas devait être de 600 euros, un montant renouvelable tous les trois mois.

Les manifestations se multiplient dans le pays depuis l'annonce de cette mesure mi-novembre. Selon la police, «plus de 40 000» personnes ont manifesté pour le troisième week-end consécutif le 4 décembre à Vienne, les autorités procédant à plusieurs arrestations pour troubles à l'ordre public. Une semaine plus tôt, ils étaient 25 000 à Graz, deuxième ville autrichienne la plus peuplée.

L'Autriche est devenu le premier pays de l'UE à rendre la vaccination contre le Covid-19 obligatoire. La mesure doit encore être approuvé par le Parlement, mais est soutenue par les principaux partis d'opposition, ce qui devrait faciliter sa validation législative, selon le gouvernement de coalition entre conservateurs et Verts mené par le nouveau chancelier Karl Nehammer. Elle vise, selon les autorités, à contrer des taux de vaccination trop faibles (67,6% de la population vaccinée au 6 décembre) pour ralentir la vague épidémique. Par ailleurs, le pays, en reconfinement depuis le 22 novembre et qui est censé y mettre fin le 13 décembre, maintiendra ses restrictions de déplacement pour les seuls non vaccinés.

 

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11 décembre 2021 6 11 /12 /décembre /2021 11:11

Sur l’ensemble des hospitalisations en France en 2020, seules 2% ont concerné le Covid-19. Les patients covid ont représenté par ailleurs 5% des patients en réanimation. Cela veut dire que 98% des patients n’ont PAS été hospitalisés pour le Covid-19. Et que 95% des patients en réanimation y étaient pour autre chose que le Covid-19.

Ces chiffres viennent du rapport d’analyse de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation (ATIH). Cet organisme est on ne peut plus officiel. C’est un établissement public français créé en 2000 pour évaluer l’activité hospitalière en France. Cette agence est au courant de tout ce qui se passe dans les hôpitaux. Elle sert à gérer les systèmes d’information de ces établissements.

Le rapport de 2020 est organisé en trois parties, téléchargeables séparément : l’une traite de l’hospitalisation à domicile, l’autre des hospitalisations en général et la troisième de celles liées au coronavirus. Il y a donc une partie entière consacrée à 2% des patients…

On peut y lire : “Les  patients  COVID  représentent  2% de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020, tous champs hospitaliers confondus. En moyenne, ces patients COVID ont été hospitalisés sur une durée de 18,2 journées au cours de l’année 2020.”

 

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11 décembre 2021 6 11 /12 /décembre /2021 11:06

La première adjointe à la mairie de Tours, la socialiste Cathy Münsch-Masset, et son époux qui lui a succédé à la tête d’une association d’aide aux personnes handicapées, viennent d’être mis en examen. Ils auraient détourné 350.000 euros grâce à de fausses factures. Une action en justice qui égratigne sévèrement la majorité municipale, dont le programme stipulait la nécessité de « rétablir un lien de confiance entre les élus et les concitoyens, les élus ayant pour devoir de représenter l’intérêt général et non de satisfaire les intérêts particuliers », pouvait-on lire encore récemment dans ses communiqués.

L’affaire remonterait au minimum à décembre 2016, alors que Catherine Münsch-Masset était directrice générale de l’Association pour adultes et jeunes handicapés d’Indre-et-Loire. À cette époque, elle cède sa place à Guillaume Masset, son mari, alors qu’elle gagnait 41.851 euros bruts pour ses fonctions.

Selon une conseillère d’opposition, elle aurait ainsi passé le flambeau à son mari pour «garder la poule aux œufs d’or en famille ».

Son mari, quant à lui, se serait servi plus généreusement dans la caisse : entre mai 2018 et novembre 2020, il aurait détourné 350.000 euros en fausses factures. En garde à vue, ce dernier affirme avoir agi seul, évoquant « d’importantes dettes » et son « train de vie ». Sa femme, quant à elle, nie.

L’opposition du conseil municipal réclamait sa démission, elle l’a finalement obtenue ce lundi.

 

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